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La Malédiction de la Dame blanche HDLight 1080p MULTI Origine: U. S. A. Réalisation: Michael Chaves Durée: 1h34 Acteur(s): Linda Cardellini, Roman Christou, Jaynee-Lynne Kinchen Genre: Epouvante-horreur, Date de sortie: 2019-04-17 Distributeur: Warner Bros. France Titre original: The Curse of La Llorona Critiques Spectateurs: 2, 5 Bande annonce: Cliquez ici pour visualiser la bande annonce La Dame Blanche. Spectre terrifiant, pris en étau entre le paradis et l'enfer, piégé par un terrible destin dont elle est elle-même l'artisan. La seule évocation de son nom sème la terreur dans le monde depuis des siècles. Quand elle était en vie, elle a noyé ses enfants dans un accès de folle jalousie, puis, dévastée par le chagrin, elle s'est jetée dans le fleuve déchaîné. NFO Zone Telechargement liens sur UptoBox Share.
La fiche Réalisé par Michael Chaves – Avec Linda Cardellini, Roman Christou… Etats-Unis – Horreur, épouvante – Sortie: 17 avril 2019 – Durée: 94 mn Synopsis: La Dame Blanche. Spectre terrifiant, pris en étau entre le paradis et l'enfer, piégé par un terrible destin dont elle est elle-même l'artisan. La seule évocation de son nom sème la terreur dans le monde depuis des siècles. Quand elle était en vie, elle a noyé ses enfants dans un accès de folle jalousie, puis, dévastée par le chagrin, elle s'est jetée dans le fleuve déchaîné. La critique du film Produit par James Wan, nouveau Pape du blockbuster d'épouvante made in Hollywood, La Malédiction de la Dame Blanche pouvait intriguer au départ avec son jeune cinéaste aux commandes (Michael Chaves, dont c'est ici le premier long) et son démon au look intriguant. Sauf que le poids de son producteur star se fait malheureusement bien trop ressentir… Énième resucée sans idée de Conjuring, auquel le réalisateur reprend absolument tous les codes à la lettre près, le film ne parvient finalement qu'à appliquer sagement son cahier des charges et in fine à provoquer de l'ennui chez un spectateur qui en a assez de se faire torturer les tympans à coups de jumpscares débarquant à intervalles trop réguliers.
A peine peur Los Angeles, dans les années 1970. Travaillant pour les services sociaux, Anna Tate-Garcia se rend au domicile de Patricia Alvarez, mère célibataire latino, suspectée de maltraiter ses deux fils. Elle trouve un appartement empli de bougies, et malgré les avertissements de Patricia, ouvre la porte derrière laquelle les deux gamins étaient enfermés. Placés en refuge, les deux gamins sont vite retrouvés morts, noyés dans un canal à proximité. Sur la scène du drame, alors que ses enfants attendent dans la voiture, son fils Chris entend une mystérieuse femme, habillée en blanc, pleurer. Celle-ci ne va cesser de les suivre… " La Malédiction de la Dame Blanche " est un nouveau spin-off de " Conjuring: Les dossiers Warren " (ou le " Conjuring-verse " ouvert en 2013 par James Wan), composé de 2 longs métrages " Conjuring " et des spin-off " La Nonne " et " Annabelle ". Inspiré d'une légende urbaine mexicaine, à laquelle fait référence le titre original " La Llorona " (la pleureuse), le scénario ne dévoile qu'au tiers du parcours l'histoire dramatique de celle-ci, mettant en évidence son sombre dessein, et anéantissant du même coup tout suspense.
La Dame Blanche. Spectre terrifiant, pris en étau entre le paradis et l'enfer, piégé par un terrible destin dont elle est elle-même l'artisan. La seule évocation de son nom sème la terreur dans le monde depuis des siècles. Quand elle était en vie, elle a noyé ses enfants dans un accès de folle jalousie, puis, dévastée par le chagrin, elle s'est jetée dans le fleuve déchaîné. Désormais, ses larmes sont devenues éternelles. Elles sont même mortelles et tous ceux qui entendent ses appels sinistres la nuit sont maudits. Tapie dans l'ombre, la Dame Blanche s'attaque aux enfants, cherchant désespérément à remplacer les siens. Au fil des siècles, elle est devenue de plus en plus prédatrice… et ses méthodes de plus en plus terrifiantes. Los Angeles, années 1970. La Dame Blanche hante la nuit… et les enfants. Ignorant les avertissements d'une mère soupçonnée de violence sur mineurs, une assistante sociale et ses enfants sont projetés dans un monde surnaturel des plus effrayants. Pour espérer survivre à la fureur mortelle de la Dame Blanche, leur seul recours est un prêtre désabusé et ses pratiques mystiques destinées à repousser les forces du mal… à la frontière où la peur et la foi se rencontrent… Méfiez-vous de ses pleurs glaçants… Elle est prête à tout pour vous entraîner vers les ténèbres.
/Prod Prod On s'attache vite à la douce et courageuse Anna et à sa progéniture, et on sursaute d'autant plus lors des apparitions de la Dame blanche, totalement glaçante avec son immense voile blanc, ses yeux jaunes et sa bouche béante comme un trou noir. Certaines répliques ne lésinent pas sur les moyens de nous donner la chair de poule. Comme: « Si vous entendez pleurer (la Dame blanche), il est déjà trop tard » ou « Le mal que vous affrontez ne connaît pas de limite ». « Ça fait quand même très peur » Lundi soir, à l'issue d'une avant-première au Pathé La Villette (Paris XIXe), la plupart des spectateurs juraient avoir bien frissonné. « C'était effrayant, souriait Maïmouna, 27 ans, venue avec ses sœurs. Le visage de la Dame blanche est tellement bien fait… » Djenaba, 29 ans, connaissait la légende depuis qu'elle est petite: « On n'y croyait pas, mais là, ça fait quand même très peur. » Tandis que Nahé avouait avoir « bien sursauté », Gwendoline, 24 ans, précisait avoir « moins sursauté que pour Annabelle 2, mais plus que pour la Nonne ».
On nage donc ici en terrain très connu, avec un déroulé prévisible du début à la fin, naviguant mollement dans un univers qui n'a plus rien à proposer, coincé qu'il est dans des conventions auxquelles il n'échappe strictement jamais – tous les poncifs du genre y sont appliqués avec soin, par un bon élève qui aurait bien appris ses leçons mais qui aurait mieux fait de ne pas trop zieuter la copie de son voisin. Film fête-foraine Sans idées neuves et sans audace, le réalisateur déroule donc son récit ultra balisé, que même la pourtant talentueuse Linda Cardellini ne peut sauver, malgré son évidente implication (elle crie vraiment très fort). Et plutôt que de chercher à installer son ambiance et d'instaurer un semblant de peur insidieuse (de celle qui glace l'échine et provoque le malaise), Chaves tombe dans le piège du film-fête foraine, avec apparitions au timing millimétré de son fantôme hurleur, corps balancés contre les murs ou traînés sur le parquet, le tout sur fond d'éclairs qui font vibrer les sièges et saigner les oreilles.