A Bordeaux, Infobel répertorie 72, 167 sociétés enregistrées. CHRISTIAN SICOT - Le patient et l'erreur médicale - Livre numérique - LIVRES NUMÉRIQUES - Renaud-Bray.com - Livres + cadeaux + jeux. Le chiffre d'affaires de ces sociétés est estimé à € 30. 201 milliards et elles emploient un nombre d'employés estimé à 926, 886. La société la mieux placée à Bordeaux dans notre classement national est en position #60 en termes de chiffre d'affaires. Plus d'info à propos de Capucine Heures d'ouvertures Lu 09:00 19:00 Ma 09:00 19:00 Me 09:00 19:00 Je 09:00 19:00 Ve 09:00 19:00 Sa Closed Di Closed Autres entreprises du même secteur Carnot Avenue Carnot 29 33200 Bordeaux 1, 90 km
Nicholas, Raphaël, Capucine, trois prénoms d'enfants et trois histoires d'erreurs au cours d'un soin. A l'initiative de Dominique Davous, mère de Capucine, Nils Tavernier et Gil Rabier ont réalisé un documentaire - Que reste-t-il de nos erreurs? – futur outil de formation pour les professionnels de santé. Familles et professionnels de santé témoignent pour lever les tabous sur l'erreur médicale et questionner les pratiques. Livre : L'erreur médicale - PUF - 9782130559146. « Quand on doit injecter une chimiothérapie, il y a un premier calcul qui est fait par une infirmière et qui, ensuite, est contresigné par la collègue avec qui on travaille pour être sûre de ne pas faire d'erreur. J'ai fait ce calcul, je me suis trompée dans le calcul, j'ai mal placé ma virgule et j'ai été contresigné par ma collègue et j'ai injecté, du coup, la mauvaise dose à un enfant (…) Je me suis dit: mais, je vais finir en taule, ma place est en prison parce que voilà, je ne suis même pas capable de faire bien mon métier », raconte Elise Baud, infirmière qui s'occupait de Raphaël, un des trois enfants victimes d'erreurs médicales, dont les histoires sont à l'origine du documentaire de Nils Tavernier.
cette recherche d'une action efficace de prévention suppose un véritable changement de culture de la part de l'ensemble des personnes du monde de la santé. la décision de publier ces débats relève de cette volonté de favoriser le développement de la culture qualité-sécurité, de promouvoir une solidarité renforcée concernant l'appartenance à un ensemble humain et technologique dont l'efficacité dépend, non seulement de la compétence individuelle du personnel médical, mais aussi de la conscience d'une co-responsabilité dans l'efficacité du système de distribution des soins.
Ils font de la commémoration des défunts une fête où on danse, on chante, on joue de la musique sur les tombes. Littéralement. Nous avons gardé cette tradition de l'autel à la maison. À lire: Envolée, d'Hélène Machalon, Mame, 14, 90 €.
Comme je travaille près d'un grand hôpital parisien et que je suis très angoissée, je décide d'aller (le 20 juillet) aux urgences pour qu'ils puissent voir ce qui cloche. Là, l'interne me fait passer une écho où elle peine vraiment à trouver le sac gestationnel (très vieil appareil d'échographie). Elle décide de me faire faire une prise de sang et m'indique que je dois revenir 48h après pour refaire prise de sang et écho. 2 jours après, nous y retournons avec mon mari. Je fais une prise de sang dès mon arrivée et attend 4h avant d'avoir les résultats et de me faire examiner par une autre interne. Celle-ci m'annonce d'entrée de jeu que mes taux sont très mauvais. Je suis en effet passée de 45000 à 10000 en l'espace de 48h. Elle m'annonce que je fais une fausse couche et que donc l'écho n'est pas nécessaire. Erreur médicale : comment être plus transparent. Elle me conseille de voir mon gynécologue habituel pour contrôler éventuellement. Bien sûr, nous sommes très tristes nous avions déjà imaginé notre futur à 4 avec ce nouveau bébé... la nouvelle est dure à avaler.