Cette monoplace est souvent présentée comme la première voiture monocoque de l'histoire de la compétition automobile. Ce n'est cependant pas tout à fait exact. Dès 1915 Harry Blood engagea une voiture monocoque en aluminium à Indianapolis. Lotus f1 1960. Gabriel Voisin, huit ans plus tard, disputa le Grand Prix de France au volant d'une voiture bénéficiant de la même technologie. En Formule 1, on trouve dès 1955 une voiture semi-monocoque au sein de l'équipe BRM. En piste [ modifier | modifier le code] Lotus 25 version 1963, à Goodwood en 2007 La Lotus 25 est utilisée par le Team Lotus au cours des saisons 1962 et 1963 ainsi que pour le début de la saison 1964. La saison 1962 sera mitigée, la voiture est rapide mais peu fiable (six abandons en treize Grands Prix) mais 30 points sont marqués par Jim Clark avec trois victoires, six pole positions et cinq meilleurs tours. La saison 1963 est celle de la consécration pour le pilote fétiche de l'écurie britannique avec le titre pilote, 54 points, sept victoires, sept pole positions et six meilleurs tours.
Roues de 4, 50 x 15 avant et 5, 00 x 15 arrière, jantes en magnésium. Empattement. 2, 286 m, voie avant 1, 245 m, voie arrière 1, 194 m, longueur 3, 556 m, poids: 365 kg avec le moteur 997 cc 125 construites. John Surtees. Jim Clark. Un air de famille avec la Lotus Seven. Notez que la durite (le tuyau noir) passe à l'intérieur du cockpit. Boite de vitesses Renault dérivée de la Dauphine, porte moyeux en alliage et point d'ancrage de la suspension au raz du sol. Lotus 25 — Wikipédia. En cas de crevaison, c'est le triangle qui frotte par terre. La fameuse suspension arrière qui fit couler beaucoup d'encre à sa présentation. Il n'y a pas de triangle supérieur classique, mais c'est l'arbre de transmission qui en fait office, un triangle inférieur inversé et deux bras de réaction guident l'ensemble. Pour équilibrer les charges, la batterie et le radiateur sont à l'extrême avant, le réservoir d'essence est au-dessus du pédalier. Les freins à tambours, noter la suppression de la flasque qui est remplacée par un support en alliage et le montage de deux cylindres de roues (flèches jaune).
John Surtees parvient à briser la série en s'imposant sur le Nurburgring, au volant de la Ferrari 156. Monza et son cortège de mauvais souvenirs Arrive alors le Grand Prix d'Italie à Monza, qu'il n'a jamais terminé. En 1960, saison de ses débuts, Jim Clark n'y court pas. En 1961, en revanche, il y est bien présent. Tragique présence, douloureux souvenir. Le titre se joue alors entre les deux équipiers Ferrari, Phil Hill, l'Américain, et Wolfgang von Trips, l'Allemand. Au départ, ce dernier ne conserve pas l'avantage de la pole alors que Clark, septième sur la grille, réalise au contraire un bel envol. Dès le deuxième tour, malgré tout, c'est un trio de Ferrari qui se porte à l'avant de la course: Hill devance Richie Ginther et le débutant Ricardo Rodriguez. Lotus f1 1963 convertible. Derrière, c'est une lutte entre Clark et Von Trips qui se met en place. La Ferrari dépasse la Lotus avant d'aborder la Parabolique. La suite est racontée par Jim Clark: « Je me préparais à le doubler et mes roues avant étaient presque au niveau de ses roues arrière quand il a commencé à freiner.
Dimanche, le 8 septembre, date du Grand Prix d'Italie 2013, marquera, jour pour jour, les 50 ans du Grand Prix d'Italie 1963, couru sur le même autodrome de Monza. Cette course fut marquée par un double-premier sacre: celui d'un certain James Clark Jr., dit « Jim », et celui d'une écurie créée cinq ans plus tôt par Colin Chapman, Lotus. Le tour d'honneur est magnifique: Jim Clark, enserré dans sa couronne de lauriers, offrande au futur Dieu de la course qu'il deviendra, pilote sans casque et avec le sourire dans sa Lotus 25, avec sur son "dos" Colin Chapman, fier, souriant à la foule italienne en brandissant le trophée du Grand Prix en signe de victoire totale. Clark et Lotus écrivent d'une même main le premier chapitre de leur(s) propre(s) légende(s). 1963, une saison en trombe... La saison avait été jusque là presque parfaite. Lotus f1 1963 mustang. Seul le Grand Prix de Monaco, en ouverture de la saison, n'avait pas vu Jim Clark fouler son podium. La tenace malédiction de l'Ecossais sur le tracé de la Principauté n'en était qu'à ses débuts.
Suspension arrière identique à la type 25 de F 1. Prix en 1963: 1 890£. Extraordinaire de finesse et d'élégance que la Lotus 27! Les formules n'étaient pas encore enlaidies par des ailerons. Une fois déshabillée, on voit bien la coque en aluminium, le radiateur est toujours à l'extrême avant, les réservoirs sont dans les flancs. Le couple avant, support de suspension, les triangles type basculeurs et la suspension à l'intérieur de la coque. La coque à double parois en aluminium riveté. F1 - Monza 1963, Jim Clark et Lotus écrivent leur légende / Magazine exclusif Motorsinside.com. Le pilote est de plus en plus incliné. 1964 modification de la 22 pour courir en F 3, puis construction de la 31 de F 3 et de la 51 Formule Ford dérivées de la 22 tubulaire. Partager la publication "Les Lotus de formule Junior 1960/1963: polyvalentes! " Facebook Twitter