« La tendance à la fragmentation est forte », a-t-elle ajouté. Les dirigeants d'entreprises de Davos étaient parmi les plus bruyants à dénoncer les signes d'un monde revenant à des blocs définis par l'alliance politique plutôt que par la coopération économique. Le PDG de Volkswagen, Herbert Diess, s'est dit préoccupé par les discussions sur la construction d'un nouveau bloc alors que le constructeur automobile allemand accélère sa production aux États-Unis. « L'Europe et l'Allemagne dépendent de marchés ouverts. Les 300 millions d'euros ont un coût : Un "dialogue inclusif et transparent" pour commencer - Tunisie. Nous essaierons toujours de garder le monde ouvert », a-t-il déclaré lors d'un briefing en marge du sommet. Les responsables se sont accrochés à de nouveaux euphémismes pour décrire un nouveau style de mondialisation, le « multilatéralisme » étant un favori parmi les mots à la mode, notamment « reshoring », « friendshoring », « autosuffisance » et « résilience ». « Le multilatéralisme, ça marche! » a déclaré le chancelier allemand Olaf Scholz: « C'est aussi une condition préalable à l'arrêt de la démondialisation que nous vivons ».
La Banque Mondiale relève, en outre, que, malgré ces progrès, la pandémie continue de peser sur le système de santé tunisien et la Tunisie reste vulnérable aux chocs sanitaires, compte tenu de la forte prévalence des maladies chroniques. Ce deuxième financement supplémentaire permettra à la Tunisie de renforcer davantage les capacités et la résilience de son système de santé, en réduisant la charge qu'entraînent les cas graves de Covid-19 et en améliorant la capacité du pays à résister aux futurs chocs sanitaires. L'assistance de la Banque mondiale à la Tunisie pendant la crise du Covid-19 se concentre sur le soutien au ministère de la Santé dans sa réponse d'urgence et vient appuyer les efforts sociaux et économiques plus larges du gouvernement, notamment le renforcement des filets de sécurité sociale, l'aide aux petites et moyennes entreprises, et la création de conditions favorables à la reprise économique. Fond de commerce cafe a vendre en tunisie. Dans l'ensemble, la Banque mondiale a mis à la disposition de la Tunisie près d'un milliard de dollars au cours des deux dernières années, en mobilisant de nouveaux fonds et en restructurant son portefeuille, précise enfin la BM.
CCTV a dû préciser que la personne en question n'était pas Jack Ma mais un homonyme, pour rassurer les marchés. Selon l'agence Bloomberg, cette mésaventure a suffi pour brièvement faire perdre à Alibaba 26 milliards de dollars de capitalisation boursière. Un passant devant le siège du géant du e-commerce Alibaba à Hangzhou le 26 mai 2022 / AFP Les mauvaises performances d'Alibaba sont loin d'être un cas isolé en Chine dans le monde de la tech. Plus tôt jeudi, le moteur de recherche Baidu a annoncé quelque 120 millions d'euros de pertes au premier trimestre. Déjà la semaine dernière, Tencent avait dévoilé un chiffre d'affaires trimestriel en quasi-stagnation sur un an. C'est la première fois depuis 2004 que le géant chinois de l'internet et des jeux vidéo enregistre une croissance atone. Fond de commerce en tunisie http. Selon le média chinois d'information économique Caixin, Tencent s'apprête à licencier 10% de ses effectifs. Menacé par une chute de l'activité en Chine d'un moteur de l'économie, le pouvoir a reçu la semaine dernière plusieurs patrons de la tech, suscitant l'espoir d'un rabibochage avec ce secteur sous pression depuis des mois.
Les discussions ont porté principalement sur la problématique de l'Etat de droit et en particulier, les dissolutions successives des instances constitutionnelles et de l'Assemblée des représentants du peuple ainsi que sur les dangers liées à la concentration des pouvoirs. Pendant cette visite, de nombreuses " inquiétudes " ont été exprimées face à une concentration de pouvoirs dans les mains d'une seule personne et une " dérive " autoritaire qui représente une véritable menace pour les acquis constitutionnels du pays, a-t-il lancé. Pour le responsable européen, le retour à la normalité démocratique dans les meilleurs délais et la reprise de l'activité parlementaire constituent des étapes " déterminantes " pour la Tunisie. Pékin et le Covid mettent la rentabilité d'Alibaba à rude épreuve. " L'ancrage démocratique du pays, le respect de l'Etat de droit et de la Constitution doivent être préservés ", a -t-il plaidé, assurant, toutefois, que l'UE se tient toujours aux côtés du peuple Tunisien.