Ceci pourrait vous intéresser Comment se déroule une cérémonie de mariage à la mairie? Dans le mariage civil classique, le fonctionnaire demande si un contrat de mariage a été conclu avant que les époux ne donnent leur consentement. Le maire interroge un à un les mariés. Lire aussi: Comment marier quelqu'un. La cérémonie se termine par la signature des registres par la mariée, le marié, puis les témoins. Qui est le premier à dire oui à un mariage? C'est la dame qui dit OUI en premier. Comment présentez-vous les alliances en mairie? L'échange d'alliance en mairie Le jeune marié peut commencer, il remet donc l'alliance à sa femme. Ensuite, c'est à Madame de faire de même avant que la fameuse phrase « Tu peux embrasser la mariée » puisse être prononcée. Qui vient en premier à la mairie pour le mariage? Les mariés sont au premier rang, face au maire ou vice-maire, la mariée à gauche du marié. Des témoins entourent généralement les futurs époux. La famille immédiate est juste derrière, aux premiers rangs.
Nous aurons donc: La rencontre et la remise des deux familles, la remise officielle des cadeaux et le rite d'unification proprement dit. Comment fonctionne le mariage traditionnel sous la capture? Dans les familles Fang, c'est la dot de la sœur qui sert à épouser le frère. Lorsque le père n'aura plus de fils à marier, il aura lui-même une nouvelle épouse. Ainsi les dots circulent constamment; ils ne sont ni capitalisés ni monopolisés. Dans la société de pêche traditionnelle, les filles sont douées quand elles sont jeunes. Comment se déroule le mariage coutumier? Le mariage habituel remonte à la nuit des temps. … Les deux familles se rencontrent pour faire connaissance et surtout pour demander la main de la future mariée. A voir aussi: Comment organiser mariage pas cher. La famille du marié verse une compensation pour la famille de la femme, ainsi que des noix de cola et des boissons – tout cela est un signe de solidarité. Où est célébré le mariage habituel? Elle se déroule devant un maire qui légalise l'union des deux époux (alors allez-y vite!
Vous comprendrez donc que si vous souhaitez respecter la tradition et recevoir la bénédiction des ainés, cette étapes viendra avant toutes toutes les autres. Et croyez moi, il vous faudra avoir « les reins solides » pour accepter les conditions et aléas liés à la cérémonie. Hutte traditionnelle, on y installe les mariés après l'acceptation de la dot Dans le cadre du mariage coutumier, les premiers concernés (les futures époux) ne dirigent pas les préparatifs, les différentes familles détiennent les pleins pouvoir par le truchement des oncles maternels. cela est bien plus faciles lorsqu'il s'agit d'un mariage entre personnes d'ethnies locales. Qu'en est-il du mariage mixte? Cas particulier En effet, comment s'organise-t-on lors d'un mariage, ghanéen-gabonais? sénégalais -gabonais ou plus compliqué, franco-gabonais? (entendons par la un pays de l'hexagone dans lequel le mariage traditionnel n'est pas une pratique courante). Eh bien, le future marié ou encore le/la future marié(e) « étrangère » devra choisir une ethnie en fonction de ses affinités avec une amie proche, une maman adoptive etc afin de définir la coutume qui sera représentée lors de l'évènement.
Les parents prenaient bien le soin de prodiguer des conseils aux mariés. Ils devaient se soutenir mutuellement, la femme devait respecter son homme, et le mari protéger sa femme. L'accent était mis aussi sur la résilience aux problèmes. La femme partait en mariage avec un panier percé, symbole de la capacité d'un individu à supporter psychiquement les épreuves du mariage. Quant à l'homme, il remettait une enclume (généralement les ethnies du sud), signe de la solidité de l'union. Contrairement à cette époque, de nos jours, la tradition a été vidée de sa substance, elle n'est plus que symbolique. Si le rituel énuméré plus haut est toujours de rigueur dans les mariages (bien que certaines familles ne prennent plus la peine de remettre à leurs filles un panier percé par exemple), les mariés actuels ne saisissent pas vraiment l'importance de ces cérémonies, et le caractère sacré du mariage. Les hommes et les femmes sont prêts à tout abandonner lorsque surviennent des problèmes. N'hésitant pas à réunir les deux familles pour échanger sur le divorce.
Qui du maître ou de l'esclave a le plus besoin de l'autre? Si donc les hommes mariés entretiennent de multiples « bureaux » et des « tchizas », c'est qu'ils sont dans le besoin. Donc, la question de l'espoir ne viendrait pas que des « bureaux » et des « tchizas », mais aussi de tous ces hommes qui se sentent obligés de tricher, parce qu'ils ne parviennent pas à contenir leur libido auprès d'une seule femme. C'est dire qu'en termes d'espoir, tant que les demandeurs auront de l'espoir, les offreuses l'entretiendront également. En outre, la sagesse voudrait que lorsqu'on se perd dans l'organisation de nos sociétés respectives, l'on observe les dispositions de la nature. Elle est le seul thermomètre, le seul baromètre, le seul indicateur de la régulation de toute société, à chaque époque, dans chaque aire géographique. Passer outre cette lecture de l'ordre de la nature nous conduit vers une société de tricheurs, d'hypocrites et de désordonnés. La vraie question qui se pose, dès lors, c'est comment concilier le mode de production capitaliste avec les lois de notre nature pour pouvoir assumer nos multiples responsabilités?
C'est à ce niveau qu'intervient la notion du choix à assumer. Si ceux qui font le choix de la polygamie sont capables d'assumer, que peut-on alors leur reprocher? Ce qui est reprochable, c'est de faire semblant d'être scandalisé par quelqu'un qui pose un acte qui fait partie des fantasmes de n'importe quel homme, mais qui, faute de pouvoir assumer, se contente de ce qu'il peut gérer. Brandy MAMBOUNDOU