Il n'aimait pas trop la fin du film et a demandé, en toute simplicité, à ce qu'elle soit changée. Refusé. Dylan accepte alors que sa chanson It's alright ma soit utilisée mais sans que ce soit lui qui l'interprète. Il ne voulait pas non plus que ce soit le générique de fin. Des conditions une nouvelle fois drastiques mais qui furent cette fois acceptées. Le bon goût du monteur. 10 conseils pour réussir l'organisation d'un concert – Confliktarts. Malgré toutes ces petites péripéties, la bande annonce a très bien marché dans les bacs. L'album s'est classé numéro six des ventes à l'été 69. C'était alors encore assez nouveau de prendre des tubes pour en faire la musique d'un film. C'est grâce au monteur que le film a eu cette allure sonore, pour la simple raison que lors du montage, il écoutait du rock. Quand il a vu ça, Denis Hopper, qui prévoyait de faire enregistrer un groupe pour de la musique instrumentale, change son fusil d'épaule. Dans sa première option rock, c'était Crosby, Stills et Nash qui devaient faire la musique. Mais le réalisateur se dispute avec eux, qui roulent en limousine et ne peuvent pas, selon lui, comprendre son film.
A lire aussi Tchaïkovski, Bizet, Grieg: l'internaute a étendu son répertoire à d'autres compositeurs Le but de cette vidéo? Être au service de la musique en guidant visuellement le spectateur sur ce qu'il entend. Ce clip s'adresse à tous, mélomanes connaisseurs et néophytes, enfants ou adolescents et démocratise ainsi la musique classique d'une manière ludique. Un concept particulièrement intriguant et qui s'apparenterait davantage à une partition extrêmement simplifiée. La ligne continue que l'on voit peu à peu se transformer au fil de la musique, représente en fait la mélodie du morceau que l'on entend. Exemple rider groupe musique de la. Plus la musique avance et plus on peut voir apparaître des nuances, des codas, points d'orgues et autres appellations solfégiques qui viennent semer le parcours du personnage d'embuches. C'est en quelque sorte une initiation plaisante au solfège. Lorsque la mélodie devient crescendo, c'est-à-dire de plus en plus forte, la pente du chemin devient montante à l'image du ressenti sonore. Cela devient un véritable jeu d'enfant de voir ce que l'on entend.