Le petit homme rouge; suivi de ces trois autres pièces: Adieux de Buonaparte; Litanies des agonisants; et Réveil d'un nouvel Épiménide, après deux ans de sommeil Date de l'édition originale: 181. Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu. Pour plus d'informations, rendez-vous sur
Et si tu vois pas où il est ce palais, c'est normal: les Communards l'ont incendié en 1871. On dit d'ailleurs que pendant cet incendie terrible, on aurait vu le petit bonhomme rouge des Tuileries derrière une des fenêtres en mode « C'est pas grave, y a le feu, tout le monde il va mourir mais moi non parce que je suis mort depuis 300 ans mouhahahahahaha «. Rassurant le gars. Ce serait la dernière fois qu'il serait apparu. Après être apparu à Catherine de Médicis, mais aussi Marie Antoinette, Napoléon, rien que ça! Allez, t'sais quoi, je te raconte cette légende, après je te dis ce que j'en pense et puis tu me diras toi-même ce que tu en penses. La légende du petit homme rouge Pour construire son palais et son jardin, Catherine avait besoin d'un « minimum » de place. Problème: y a déjà du monde sur l'emplacement qu'elle veut, notamment des tuileries. Les tuileries, ce sont les endroits où on fabriquait des tuiles, pour couvrir les maisons. Oui, tout simplement! Alors Catherine de Médicis a exproprié les tuileries et a tout fait détruire pour son jardin chéri, immense et privé, rien que pour elle!
Les cent Suisses étaient campés dans la vaste galerie du centre, qui fut depuis la salle des maréchaux; de ce côté il n'y avait rien à craindre. Nous tournâmes dans un appartement qui donnait sur les jardins et sur la Seine. Il faisait clair de lune; certaines fenêtres conservaient encore les petits vitraux plombés du temps des Médicis. Leurs verres grossiers, en culs de bouteilles, laissaient transparaître une lumière verdâtre qui tachait le visage de la Reine et me la montra soudain comme un fantôme en son vêtement blanc. Je me souviens que mes doigts tremblèrent et que les bougies que je tenais pleurèrent sur le parquet. —Vous avez peur? me dit-elle. Vous étiez plus brave tantôt. Et elle daigna ajouter: —J'ai été témoin de votre courage et de votre fidélité; je ne les oublierai jamais... si toutefois j'ai encore longtemps pour me souvenir. —Oh! madame, m'écriai-je. Mais d'un geste doux et souverain elle m'indiquait une porte. —Je ne sais ce qu'il y a de ce côté-ci des appartements. Dans mes rares séjours à Paris je n'ai jamais été si loin.
Les rois François II, Charles IX et Henri III sont tous décédés sans héritier mâle. Le pouvoir est revenu à un vague cousin, roi de Navarre: Henri, futur Henri IV. Fin des Valois, début des Bourbons: Check! La prédiction fait, finalement, tellement peur à la reine qu'elle prend très au sérieux cette histoire de décès près de « Saint-Germain ». Elle quitte les Tuileries alors que le château n'est pas terminé parce que le terrain dépend de l'église Saint-Germain-L'Auxerrois. Elle s'installe un temps dans l'Hôtel de la Reine qui dépend de l'église Saint-Eustache. L'hôtel a depuis été détruit, en 1748, et il n'en reste que la Colonne Médicis, qui trône un peu bizarrement auprès de la bourse du Commerce. Je dis « bizarrement », parce qu'elle est plantée là, toute seule, on dirait que personne n'a su quoi en faire et l'a laissée là où elle était. La colonne Medicis, dernier vestige de l'hôtel dans lequel Catherine de Médicis s'est réfugiée après les prédictions du fantôme Finalement, Catherine quitte Paris pour Blois.
Histoire monumentale, pittoresque et anecdotique de la chartreuse de Paris: suivie d'une description nouvelle du Luxembourg et de ses jardins / par P.... Lire la suite 10, 90 € Neuf Expédié sous 2 à 4 semaines Livré chez vous entre le 15 juin et le 29 juin Histoire monumentale, pittoresque et anecdotique de la chartreuse de Paris: suivie d'une description nouvelle du Luxembourg et de ses jardins / par P. de Lacroix,.. de l'édition originale: 1867Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces œuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces œuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le plus d'informations, rendez-vous sur le site Date de parution 01/11/2016 Editeur ISBN 978-2-01-444251-9 EAN 9782014442519 Présentation Broché Nb.