Elle a mon âge, une bonne quarantaine, travaille comme commerciale chez un grossiste. Deux enfants en charge, énergique, active et efficace, toujours discrète. Quand à Huguette… J'imagine encore moins notre vice-présidente dans ce rôle de… lesbienne, puisqu'il faut bien dire le mot. De taille moyenne comme nous toutes, divorcée elle aussi, depuis 3 ans seulement et après une dure lutte contre un mari tyrannique. C'est vrai, elle en a bavé, mais de là à tomber amoureuse d'une femme… Elle est médecin, psychothérapeute, et c'est comme ça, d'ailleurs, qu'elle a rencontré Jocelyne. Courageuse, Huguette vit seule. La plus déterminée aussi. Son divorce cruel l'a écœurée des hommes. Mais à ce point! J'en frissonne d'horreur. Je me décide à interroger Fabienne, elle est tout de même venue pour me parler de ça. -« Mais que faisaient-elle? » -« Mais! Qu'est-ce que tu crois! Histoires de gouines : Recits-Intimes.com. S'insurge Fabienne! » C'est la plus jeune de notre petit noyau de paritaristes. C'est la seule, aussi, à ne jamais s'être mariée.
« Avance, rampe à nos pieds! Oui, comme ça, c'est bien. Si tu te voyais ma pauvre, comme tu fais chienne soumise, une bonne gouine soumise. » Ma maîtresse me parlait toujours comme ça devant ses amies. Elles étaient trois avec elle aujourd'hui. Trois de ses camarades de jeu, une rouquine aux formes rebondies, une blonde élancée et une brune pulpeuse avec de très gros nichons. Ma maîtresse est brune aussi mais son point fort c'est son cul, un cul à damner un saint, ou une sainte en l'occurrence. « Elle est à vous, prenez-la comme elle le mérite! » Les trois femmes se sont approchées de moi. Ma maîtresse était assise dans un fauteuil large et confortable, complètement nue, les jambes posées sur les accoudoirs, une main plongée dans sa chatte, l'autre jouant avec ses seins. Voisines, ça gouine - histoire de sexe. J'étais à quatre pattes, à même le sol, sur un épais tapis persan. La blonde a tendu sa main vers mon derrière pour me flatter l'entre fesses, glissant ses doigts dans mon sillon, jusqu'à ma chatte. La brune gironde s'est couchée devant moi, prenant appui sur ses avant-bras.
Je passe ma main sur la chatte sans chercher un endroit particulier. Au passage je tête son bouton son vagin, ses lèvres un peu grosses, pile comme je les aime. Je ne vais pas plus bas que le périnée. Je me réserve le droit daller sur son cul plus tard quand nous nous connaitrons mieux bibliquement. Sa bouche a quitté la mienne. Delle émane des gémissements sans fin. Je la branle lentement comme jaime quon me fasse. Je vais ensuite un peu plus vite. Lentement je la vois qui fermes les yeux aui se crispe pas mal pour pousser un léger cri quand elle jouit. — Cest bon, te sait me branler. — Essaie toi de me le faire. Récits Coquins pour Femmes qui Aiment les Femmes. Mais avant mettons nous nues. Nous sommes vite nues: je regarde son magnifique corps qui me donne encore plus envie delle. Jembrasse ses deux seins, ses mamelons durcis par le plaisir qui est venue et sans doute à venir. — Tu sais nous nen avons pas fini encore; — Tant mieux jai aimé, jaimerais recommencer. — Viens nous allons dans la chambre. Bien sur, même si jai envie de ses mains sur moi, jela fait tomber au bord du lit, les jambes ouvertes.
Mon amante ma quitté pour partir avec un mec. Cette trahison mémeut au plus au point, elle qui détestait les hommes à cause de leurs queues toujours à fourrer dans une chatte ou, pire dans le cul. Adieu Nina, je nen mourrais pas. Jen trouverais une autre. Cest plus facile à dire quà faire, jai perdu lhabitude de draguer mes semblables plus nombreuses ma-t-on dit un jour. Des bisexuelles certainement. Jai mes mains pur la remplacer. Mes mains me font moins de bien que sa langue dans la chatte ou lanus. Nous étions connues dans le quartier par les voisins qui savaient fort bien que nous vivions ensemble: pensez deux gouines. Jen suis fière er malheureuse: elle ma quitté me laissant seule dans cet appartement devenu trop grand. Je pleure souvent en pensant à elle. On dit que le temps efface les peines. Pour moi cest vrai: jai oublié Nina le jour où par hasard je rencontre Emilie, une grande fille à coté de mi, jolie comme un cur bien faite, digne des délices lesbiens. Cétait assise sur un banc, en attendant un bus.
Il faut quand même qu'elle sache qui est le chef ici. Attachez-la aux barreaux du lit par les quatre membres, elle n'en a pas fini avec nous… »
Je ne suis pas lesbienne mais je ne regrette en rien cette expérience. Souvent, ou même présentement seulement en écrivant cette histoire, je me flatte, me branle le clito en repensant à cette licheuse de minou qu'aucun gars n'a réussit à battre jusqu'à maintenant... J'espère que vous ferai de même en lisant mon histoire, comme j'ai fait de même en lisant les vôtres.
Voici une aventure qui m'est arrivée lorsque j'étais encore étudiant (22 ans). J'étais à une soirée d'anniversaire avec pas mal de mes amis de promo. La fille qui était fêtée était une belle fille libérée que je cherchais à me taper depuis plusieurs semaines. Sa mère était présente à la soirée car la fête avait lieu chez elle. C'était une femme de 46 ans, blonde, mince, grande (1m75) très bien faite et bien conservée. Une belle femme mûre! Je l'avais rencontré déjà à plusieurs reprises lors de soirées passées avec des amis dans son grand appartement. La fête battait son plein, l'alcool avait coulé une bonne partie de l'après-midi et de la soirée. Je discutais sociologie avec la mère, Béatrice, dans la cuisine, les autres étant pour la plupart rassemblés dans le double salon. Cette belle femme était assise devant moi (j'étais debout). Elle portait une jupe assez courte mais pas provoquante et un simple pull de couleur. Tout en discutant, je trouvais qu'elle était vraiment sexy et désirable.