L'aviron d'argent, c'est: – Etre autonome en skiff – Entretenir et réparer des bateaux – Aider les avirons de bronze Un rameur « Aviron d'Argent » est autonome sur skiff. Il peut utiliser les skiffs, les doubles et ramer en quatre. Le parcours Monter dans votre bateau Régler votre barre de pieds Avancer en ligne droite Toucher une bouée avec la pointe avant Ramasser et renvoyer un ballon Passer entre 2 bouées sans les toucher Scier (épreuve éliminatoire) Faire demi-tour sur bâbord Toucher une bouée avec la pointe arrière (épreuve éliminatoire) Faire demi-tour sur tribord Accoster sans aide (épreuve éliminatoire) Descendre de votre bateau sans aide (épreuve éliminatoire) Renseigner le cahier de sortie
On s'entend parfaitement sur l'eau mais aussi en-dehors, c'est une véritable amie. " Pourtant, les deux médaillées ne s'entraînent pas toute l'année ensemble, se réunissant seulement à quelques reprises pour travailler leurs repères. Bové s'entraîne à Lyon tandis que Tarantola rame sur l'Isère, à Grenoble, où elle a effectué son collège mais aussi son Master au sein de l'école de management de la ville. "On parle souvent, on s'appelle, et on se soutient quand l'autre n'a pas trop le moral, précisait Laura Tarantola en mars 2020 sur le site de la Fédération française d'aviron. On se motive aussi avec des entraînements ensemble en FaceTime. Deux médailles d’argent pour l’Aviron du Scorff au championnat de France - Lorient - Le Télégramme. Si ça ne part pas en discussion pendant deux heures, l'entraînement est efficace! " Elles ne sont pas arrivées tout de suite à l'aviron Malgré la présence de l'aviron dans sa famille, Claire Bové n'a pas commencé l'aviron dès son plus jeune âge. " Au départ, je ne voulais même pas en entendre parler, rigolait-elle en 2019. Je faisais du triathlon au collège et ma meilleure amie, de l'aviron.
🔥 — Fédération Française d'Aviron (@FFAviron) July 29, 2021 Au bénéfice d'une accélération redoutable dans les derniers hectomètres, les Italiennes ont fait la différence. A l'expérience, celles-ci ont attendu leur heure. Derrière les Néerlandaises Marieke Keijser et Ilse Paulis - médaillées de bronze - aux pointages du kilomètre et aux 1500 mètres, les embarcations transalpine et française ont produit leur effort dans le dernier tronçon. Aviron d argent 2019. En 3eme position, les Italiennes ont fondu sur leurs rivales, coupant la ligne d'arrivée d'un souffle devant Laura Tarantola et Claire Bové qui ont cru, un bref instant, avoir gagné cette finale olympique. Fin d'une longue traversée du désert Au lendemain de la belle médaille d'or d'Hugo Boucheron et Matthieu Androdias en deux de couple homme, l'aviron tricolore a la banane. D'autant plus que la délégation française attendait une médaille féminine aux Jeux depuis Atlanta en 1996 où Hélène Cortin et Christine Gosse avaient empoché une médaille de bronze dans l'épreuve du deux de pointe sans barreuse.
Les Luziens engrangent Le club luzien de l'Ur Yoko avait joué de malchance l'an dernier. Le duo Benoît Ordoqui - Lionel Picard avait dû abandonner après 100 m de course suite à un accrochage avec bris de rame. Cette fois, les deux leaders du club sont allés chercher une belle médaille d'argent. La délégation luzienne était venue en nombre avec, dans ses bagages, une belle relève de jeunes formés au club, à l'image du quatre barré des cadettes, composé des sœurs Iratzoqui, d'Ané Mas-Goicochea, de Maitané Suhas et de la barreuse Lutxi Pascassio Comte. « Formées au club depuis trois ans, c'était leur premier championnat et elles remportent le titre de championnes de France », se félicite leur entraîneur Romain Saint-Macary, qui ne s'attendait pas à une telle réussite de ses rameurs. « Avec le sacre des cadettes plus 2 médailles d'argent et une de bronze, on dépasse nos objectifs. Il y a bien longtemps que nous n'avions pas connu un tel bilan. L’aviron d’argent – Cercle Nautique Haubourdinois. » Pierre Esteban Soubeste médaillé L'espoir junior de la Société nautique de Bayonne, Pierre Esteban Soubeste, médaillé aux derniers Mondiaux, vient de décrocher ce week-end une 2e médaille internationale en terminant 3e des championnats d'Europe dans le huit tricolore.
Avec en prime une révélation: Véronique Couvreur, pour sa première participation, a été sacrée vice-championne de France, juste derrière sa voisine hendayaise, couronnée pour la 5e fois. Jessica Berra intouchable Décidément, l'ancienne championne du monde de rame en mer aligne les couronnes de championne de France. Une cinquième, la quatrième consécutive, sans vraiment trembler. « La mer était assez calme; j'ai fait un bon départ pour ensuite me retrouver bord à bord avec ma rivale de toujours, Edwige Alfred, qui par la suite m'a devancée, confie Jessica Berra. Elle remporte le titre des masters et moi celui des seniors; le même scénario que l'an dernier. L’Aviron de mer de Plougonvelin a brillé aux championnats de France - Plougonvelin - Le Télégramme. La nouveauté, c'est la deuxième place obtenue par la Luzienne Véronique Couvreur. » La révélation de ce week-end est montée sur la deuxième marche du podium pour son premier championnat de France de rame en mer, mais la nouvelle recrue de l'Ur Yoko avait déjà dans sa musette de belles références de rameuse. « J'ai longtemps défendu les couleurs du club de Reims dans les différents championnats de rame en rivière; j'ai remporté des titres de championne de France en huit et en quatre sans barreur », précise la néo-Luzienne, qui s'est offert, en plus de sa médaille d'argent, une autre breloque en bronze, lors du double mixte, aux côtés de Romain Saint-Macary.