Cette peudo normalité dans laquelle nous vivions m'a curieusement fait prendre confiance en moi, j'avais fini moi-même par croire que tout allait bien. Un soir que nous nous sommes disputés, elle pleurait sur le lit et moi j'étais couché juste à côté, je lui tournait le dos, car j'étais en colère après elle. Je n'imaginais pas qu'on ferait l'amour, je n'avais donc pas pris ma pilule bleu. subitement, comme pour me demander pardon, elle s'est jetté sur moi et s'est mise à se frotter contre moi. Sans me poser de question (je pensais que j'étais normal), je suis rentré dans son jeu et surprise! j'ai eu une belle érection, je lui ai fait l'amour en éprouvant du plaisir et pour couronner le tout j'ai éjaculé. Le mec à suivre ? Pierre Niney, 23 ans, acteur - Elle. Ce fut le plus beau soir de ma vie! Depuis lors je ne me considère plus comme puceau. Nos relations suivantes furent sans viagra et elle se sont pas mal passées, car j'avait retrtouvé une vrai confinace, surtout, je savait que j'allait avoir du plaisir, celà m'excitait et me donnait une érection naturelle.
pasdenom Il ne faut pas perdre espoir. J'ai vécu à peu près ce que tu vis. Je suis resté puceau jusqu'à l'âge de 26 ans! Bien sûr j'ai eu des expériences sexuelles, j'en ai même eu très tôt, mais elles étaient toutes sans pénétration à cause de problèmes d'érection. Cadeau homme 20 ans 25 ans Anniversaire et Noël | Super Insolite. J'étais un adolescant timide, ce qui fait que je ne suis jamais allé jusqu'aux rapportx sexuels avec mes copines d'alors. Ensuite, Le drame pour moi s'est produit quand je suis allé à l'université, à l'âge de 17 ans: ma première éjaculation, je l'ai obtenu par masturbation. C'était une grande découverte pour moi, j'ai aimé ca, j'ai continué et du coup mon cerveau a pris ca pour la normalité. Du coup quand j'allait au lit avec de vrais filles, je n'avait pas d'érections. Ceci m'a plongé dans le fameux cercle vicieux: manque d'érection => perte de confiance => abscence de filles => masturbation => manque d'érection J'en souffrait car j'ai vraiment connu des filles superbes avec qui je n'osais franchir le pas. À mes 26 ans, j'ai eu la chance de rencontrer la fille qu'il me fallait: elle avait 19 ans, elle était inexpérimentée en matière de sexe, et elle était très câline (elle préférait plus les caresses que le coit, me disait-elle).
ELLE. A l'écran, on sent une vraie connivence entre vous, Nicolas Duvauchelle et François-Xavier Demaison. Comment l'avez-vous construite? Pierre Niney. Avant le tournage, FX nous a invités, Nico et moi, dans sa maison en Provence. On s'est tellement marrés! Quarante-huit heures à faire les 400 coups, alors qu'on était partis pour travailler ensemble le scénario. Évidemment, on n'en a pas lu une ligne. Mais on a fait mieux: souder un trio. C'est vrai que mes deux camarades sont beaucoup plus vieux que moi. Mais, en amitié comme en amour, je me fiche de l'âge. Mec 23 ans for sale. Vous êtes aussi à l'affiche d'« Un chapeau de paille d'Italie », de Labiche, à la Comédie-Française, dont vous êtes le plus jeune pensionnaire: trois cents ans d'histoire théâtrale, c'est lourd pour vos épaules de jeunot? Pierre Niney. Un lieu légendaire, c'est forcément flippant. Mais j'y travaille et j'y joue tous les jours, ce qui désacralise beaucoup l'institution. Et puis, contrairement aux idées reçues, rien ne relève ici du classicisme poussiéreux: grâce au talent du metteur en scène Giorgio Barberio Corsetti, ce Labiche est complètement déjanté!