Un matin d'octobre (petit texte à propos des couleurs de ce matin là.... ) Les lourds camions, nouvelles bêtes de somme, Charroyaient la riche moisson des hommes, En ces matins aux brumes automnales, Qui noyaient au loin les blés d'Espagne. Plantes dorées que connurent les Aztèques, Ramenées d'un passé de conquêtes. La lumière qui baignait chaque matin, Les vignes, les plaines et les grands pins, Semblait hésiter entre rose et mordoré. Subtil mélange chaque jour renouvelé. Miracle quotidien... mais unique, Dont il savourait le côté magique. Magique la transparence de l'air, La douceur de la lumière. Un matin d octobre de. Phénomène du matin, éphèmère, D'ou jaillissait la cathédrale St Pierre. Lorsqu'il longeait le beau fleuve Charente, Le soleil occupé à se lever, Récompensait son attente, De voir le fleuve se métamorphoser.
Ils espèrent ainsi arriver à faire changer les comportements. Effectifs faibles à Sandogo Le complexe scolaire privé Wendkoagnda de Sandogo est fonctionnel depuis la rentrée 2002-2003. Pour cette rentrée-ci, il n'a pas dérogé à la règle en matière de préparation. Un matin d'octobre - Walter F. Osborne - comme un fac similé d'art de reproArte. Comme à Yaoghin, après la rentrée administrative, les parents d'élèves ont été « convoqués » pour être mis au courant de certaines modalités relatives à l'inscription. A Wendkoagnda, on a choisi d'appliquer des frais de scolarité en dessous de ceux officiels. La raison, selon le directeur, Barthélemy Kiendrébéogo, est que l'établissement est situé dans une zone où les parents d'élèves, paysans pour la plupart, n'ont pas facilement les moyens d'envoyer leurs enfants à l'école. Ceux qui réussissent à le faire se soucient parfois très peu du travail de leurs rejetons, laissés à eux-mêmes. C'est lors de notre passage, jour de la rentrée des classes, qu'un parent a choisi de venir récupérer le bulletin de sa nièce qui a du reste échoué au BEPC à la session passée.