Prière pour enlever le mauvais oeil Il est efficace pour éliminer ce mal qui est un pro spirituel qui se reflète dans le corps de la personne affectée. En tout le monde Dans les différentes cultures qui existent, la croyance est maintenue qu'un regard d'envie, une mauvaise pensée ou le désir qui découle de l'envie peut être la cause de maladies physiques telles que les maladies, les blessures et les maux qui peuvent causer décès. Il est connu comme un mauvais œil car on pense qu'il est plus transmis par un mauvais regard chargé de mauvaises vibrations et de mauvais désirs. Un problème purement spirituel qui peut avoir des conséquences fatales si les bonnes mesures ne sont pas prises, de nombreuses personnes peuvent voir le médecin et voir une amélioration, mais le mal est toujours là, causant des dommages. C'est un mal dégénératif qui flétrit la personne, se manifeste souvent dans la peau ou avec découragement, l'important est de le détecter à temps et de le contrer avec des armes spirituelles.
C'est un rite qui puise son origine en des temps immémoriaux et qui, aujourd'hui encore est entouré de mystères. Pourtant il fait partie intégrante de la vie des Corses et sa transmission rythme chaque année la veillée de Noël. Le rituel de l'Ochju est ancré au plus profond de la tradition corse, faisant fi de l'évolution des coutumes il se pose comme un repère de l'identité insulaire. Pour tous, ceux qui y croient ainsi que pour les plus sceptiques, le rituel est entouré d'un certain respect allant même jusqu'à la crainte. « Caccià l'ochju » consiste à enlever le mauvais œil pour chasser le mal, soulager et faire advenir le bien. Retour sur une tradition entre rites païens et croyances catholiques qui doit impérativement être transmise la nuit du 24 au 25 décembre. L'Ochju pour chasser le mal Le rituel est effectué par u signatoru ou a signatora, « celui ou celle qui signe » et qui enlève le mauvais œil grâce à des prières couplées à l'utilisation d'huile et d'eau dans une assiette creuse blanche.
Une tradition exclusivement féminine à l'origine Autrefois, le rituel et sa transmission étaient uniquement réservés aux femmes. Il se transmettait de grand-mère à petite-fille, prenant soin de toujours sauter une génération et de rester dans le cadre familial. A signatora devait aussi être une fervente catholique, preuve du lien intime qui unit les traditions païennes de l'île à la religion. Aujourd'hui, quiconque possède ces secrets peut les transmettre à qui en est jugé digne. C'est ce qui s'est passé pour Francesca, 28 ans, qui l'a appris pendant l'adolescence: « J'ai l'ai toujours vu faire par ma voisine qui était très âgée. Je la regardais, intriguée, car j'étais petite et je me demandais ce qu'elle faisait. Puis j'ai grandi et un soir de Noël, mon père et moi l'avons appris grâce à un ami à lui qui était signatoru et qui en a profité pour transmettre d'autres prières comme celles pour lutter contre les brûlures, les verrues et les saignements ». Une transmission avec des règles strictes à respecter Première règle, la transmission doit impérativement se faire lors de la veillée de Noël, appelée « A Veghja » sinon le savoir sera inefficace et le pouvoir sera perdu.