Deux solitudes Lui, architecte, ayant réussi dans la vie, mais ayant raté sa vie, divorcé, seul, inquiet, se retrouve un quinze août dans un petit hôtel parisien. Elle, vive, drôle, courageuse, avec une vie difficile qu'elle bouscule de toutes ses forces, mais seule, victime d'un lourd passé qui la bride, est la femme de chambre de ce petit hôtel parisien. Ces deux solitudes vont se croiser, s'apprivoiser, reconstruire l'espace d'une nuit, une autre histoire, une autre vie. De leurs solitudes, ils vont faire un feu de joie, crépitant de rires, de bousculades, de chamailleries, de tentations et qui sait… au petit matin, d'amour. La presse « Sur la question des émois amoureux de la dernière chance, Une nuit, une vie offre des réponses drôles, réjouissantes et réconfortantes. Une nuit une vie théâtre national. Isabelle Hétier et Gilles Langlois, dans une mise en scène subtile de Jacques Decombe, démontrent toute l'étendue de leur talent dans cette joute des sentiments. » Le Courrier de la Mayenne
Habitées par la grâce et la passion théâtrale, les jeunes comédiennes défendent impudemment les mots et les maux d'Avron, Zouc, Siméon, Brecht et Flaubert. La Compagnie de la Passerelle, fidèle à Avignon, mention spéciale à la mise en scène de Michel Bruzat, offre à la banalité de tous les instants une beauté singulière et se joue de tous les petits plaisirs et malheurs de la vie. Incontournable.
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». Cet acte III scène 2 voit également le retournement de Lysandre contre Hermia qu'il rejette avec une grande violence: « ton amour? Va-t'en, Moricaude basanée, va-t'en! Va-t'en, médecine exécrée, oh! Potion abhorrée, loin d'ici! »