Colonne des danseuses [ modifier | modifier le wikicode] La colonne des danseuses est datée d'environ 330 av. -C.. Elle est ornée de feuilles d' acanthe et offre un couronnement original composé de trois jeunes filles dont l'identité reste incertaine. Elles supportaient un trépied de bronze. Source [ modifier | modifier le wikicode] Source: cette page a été partiellement adaptée de la page Delphes de Wikipédia. Voir aussi [ modifier | modifier le wikicode] Pythie Temple grec 38° 28′ 59″ N 22° 30′ 04″ E / 38. Oracle qu on venait voir à delphes gratuit. 483, 22. 501
Delphes, un lieu touristique Depuis Athènes, la route pour Delphes met un peu de temps à dévoiler ses charmes. En voiture ou en car, elle déroule deux heures durant son ruban monotone, traversant zones industrielles et villages sans âme. Puis, peu après la ville de Livadiá, la chaussée commence à s'élever et à serpenter. Le paysage s'embellit. A chaque virage, le voyageur se noie dans le vert tendre des coteaux et le turquoise de la mer de Corinthe. Il faut encore traverser Aráchova, bourg montagnard à 970 mètres d'altitude, au pied du mont Parnasse, autrefois serein mais aujourd'hui envahi par des boutiques attrape-touristes, locations de skis et cafés bruyants. Une dizaine de kilomètres plus loin, enfin, le sanctuaire panhellénique de Delphes apparaît. Là, dans l'Antiquité, la Pythie délivrait des prophéties que lui dictait, croyait-on, le dieu Apollon. Pour découvrir les lieux où officiait l'oracle, il faut s'acquitter de 6 euros et remonter, à pied, la Voie sacrée. Codycross - Solution Groupe 147 - Grille 1 (Sports). Ce chemin dallé, bordé de cyprès et de ruines, ondule jusqu'au temple d'Apollon, dont il ne reste que la base des murs, six colonnes doriques en façade et, près de l'entrée, l'autel sur lequel étaient sacrifiés des bœufs ou des chèvres.
1. Τη. Ηομολλε, BCH 19 (1895), ρ. 5 à 69 (edprinceps; excellentes photographies pi. XXI-XXIV); W. Oracle qu on venait voir à delphes france. Dittenberger, Sylfl 438 (le texte n^est pas dans Sylfi); Dareste, Haussoullier, Reinach,, IIe série (1904), n° XXVIII, p. 179 à 198 (traduction française, commentaire); L. Ziehen, (1906), n°74 (éd. partielle) etc. : bibliographie complète, texte, traduction, apparat, commentaire dans le recueil cité à la note 2. Architecture et poésie, hommage à G. Roux CMO 19, Lyon, 1989
DELPHES (Oracle de), Myth. Hist. Littér. le plus fameux de tous les oracles du paganisme, et qui devint, pour ainsi dire, l'oracle de toute la terre; il précéda le règne de Cadmus, et était même établi avant le déluge de Deucalion. Diodore de Sicile, Strabon, Pausanias, et Plutarque, racontent que des chèvres qui paissaient dans les vallées du mont Parnasse, s'étant avancées vers une espèce d'antre peu connu, firent des bonds étonnants, et poussèrent des cris extraordinaires. Bientôt les pâtres, les villageois, et tous les habitants du lieu, furent à leur tour saisis des mêmes mouvements, et se persuadèrent que quelque dieu était venu se cacher dans le fond de l'abyme, afin d'y rendre ses oracles. Oracle qu on venait voir à delphes des. On attribua d'abord l'oracle à Neptune et à la Terre; de la Terre, l'oracle passa à Thémis sa fille: ensuite elle s'en démit en faveur d'Apollon, qu'elle chérissait particulièrement. Enfin celui-ci par ses lumières dans la science de deviner, à laquelle il s'appliqua dès sa plus tendre jeunesse, demeura maître de l'oracle, et l'éleva au plus haut point de célébrité.