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» Un sentiment d'enfermement « Les citoyens du quartier de Bonnevoie se sentent enfermés, sachant que le Rangwee qui était l'accès au rond-point Gluck (NDLR: pour accéder au réseau autoroutier A1/A3/A4/A6, au quartier Howald et à la Cloche d'or) est barré. Tout le trafic descend par la route de Thionville en direction du pont Buchler pour bifurquer en direction du rond-point Gluck. Idem en sens inverse, Bonnevoie est uniquement accessible du rond-point Gluck par la pénétrante Sud (NDLR: tunnel Bousser)», explique-t-il, carte à l'appui. « Il y a trop de travaux en même temps, notamment rue du Pont-Rémy et un chantier débutera bientôt rue Gellé. Martinique : La Montagne Pelée sous surveillance, 120 ans après son éruption meurtrière | Outremers360. Pourquoi ne pas avoir attendu la fin des travaux du tram? Beaucoup de trafic routier venant de l'est traverse le quartier de Bonnevoie pour accéder au centre-ville, en passant principalement par la rue Pierre-Krier», poursuit-il. «De la route de Thionville en direction du pont Buchler avant de bifurquer en direction du rond-point Gluck, les voitures s'arrêtent régulièrement jusqu'au Howald!

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Alors qu'il nous promène dans le quartier pour nous montrer les différents points de blocage, nous attendons, hors heure de pointe, trois feux rouges d'affilée avant de pouvoir tourner à gauche. Pourtant, le feu vert pour aller tout droit reste, lui, allumé une fois que toutes les voitures sont passées. Des petits réajustements, c'est tout ce qu'il souhaite. D'autant que, comme une majorité de la population, il est totalement favorable à la création d'une ligne de tram. On n y craint pas les embouteillages saison. Autre problème pour les habitants de la partie résidentielle habituellement plutôt très calme, les nombreuses déviations amènent les automobilistes dans ces petites rues ainsi que les bus et les bloquent. «J'ai conscience que quand on habite en ville, il faut accepter ce genre de désagréments. On n'est pas à la campagne, il y a de la circulation, c'est normal. Mais notre qualité de vie a considérablement baissé, et cela devrait durer jusqu'en septembre. » Un panneau indique «commerces accessibles» tant l'îlot paraît encerclé par les chantiers.

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« Aujourd'hui, nous ne pouvons travailler avec des prévisions car les prix changent de jour en jour. Certains importateurs ont même cessé d'importer des produits pour lesquels il y avait pourtant une demande », fait ressortir Nitish Ramsahye, Brand & Communications Manager du groupe. Il explique que les petits commerces ont cessé de faire du stockage en raison de la baisse de la consommation. Travaux : «On ne peut pas sortir de Bonnevoie». Au niveau des ressources humaines, il soutient que les salaires ont déjà subi une hausse qui oscille entre 5% et 6% en début d'année. « Avec les nouveaux prix des carburants, nous anticipons des demandes de hausse salariale la part des employés », prévoit-il. Selon lui, ceux qui reçoivent une Fuel Allowance n'arrivent pas à terminer le mois. Certains optent même pour recommencer à utiliser les transports en commun. Alain Saverettiar, directeur des supermarchés King Savers, affirme que toute augmentation affecte leurs coûts d'opération. « Une énième hausse de prix des carburants nous oblige à revoir nos activités.

"Ce sont d'abord les Rennais qu'il faut loger, car les Franciliens ne représentent que 10% des transactions immobilières", assure l'élu. Il reconnait que le développement à la verticale de la ville "peut constituer un traumatisme". Afin d'améliorer la concertation, une charte incite désormais les promoteurs à informer la population avant le dépôt du permis de construire. "On essaye de satisfaire une partie des revendications", assure Marc Hervé. On n y craint pas les embouteillages 4. Face à la hausse des prix de l'immobilier à Rennes - +11% en un an dans l'ancien - pas question toutefois d'arrêter de construire. "Il faut que tout le monde puisse trouver un logement, notamment les bas revenus, car on a besoin de tous les métiers", prévient Jean-Yves Chapuis, ancien adjoint à l'urbanisme. Pour Ana Sohier, ex-élue UDB (Union démocratique bretonne, autonomistes) au patrimoine, "il faut réinterroger le concept des métropoles". "On concentre, puis on se plaint de la densification. Aujourd'hui la question se pose de mieux répartir l'activité économique pour mieux répartir les habitants", argumente-t-elle.

Chariot Pour Conteneur
July 30, 2024, 1:15 pm