« Plus vous semez des pistes cyclables, plus vous récoltez de cyclistes. » Voici, résumée en quelques mots, la méthode la plus simple pour augmenter la part modale du vélo et rendre les villes plus attrayantes, résilientes et améliorer la santé de ceux qui les habitent. Cette citation est tirée de Pourquoi pas le vélo?, un essai écrit par Stein van Oosteren et publié l'an dernier chez Écosociété. Elle n'est pas sans rappeler l'expression « If you build it, they will come », inspirée d'un film américain et que le monde du vélo s'est appropriée. Évangile Jean (16, 29-33) | Prions en Église. En entrevue au Devoir, Stein van Oosteren est intarissable quand il parle du vélo. Ce mode de transport économique, fiable et efficace est en voie de transformer plusieurs villes dans le monde, après des décennies de règne automobile. Français d'adoption et porte-parole du Collectif Vélo Île-de-France, Stein van Oosteren est né aux Pays-Bas, le « paradis du vélo ». Si, aujourd'hui, rouler à bicyclette est ancré dans les mœurs aux Pays-Bas, ce ne fut pas toujours le cas.
Il est de plus en plus certain, historiquement, que le fleurissement juridique, littéraire et même musical de la cour d'Alphonse X le Sage [son fils] fut le fruit de l'œuvre de son père. Il a peuplé et colonisé consciencieusement les territoires conquis. Il a institué ce qui allait devenir les Conseils du Royaume, en désignant un collège de douze hommes savants et prudents pour l'assister. Il a observé rigoureusement les pactes et les engagements pris à l'égard de ses adversaires, les chefs maures, même lorsque des raisons de convenance politique nationale se sont ultérieurement présentées. En un sens, il était l'antithèse chevaleresque du "prince" de Machiavel. Dans les yeux de jeanne 3. Il fut un habile diplomate et, en même temps, le promoteur infatigable de la Reconquête. Il n'a voulu la guerre qu'en tant que croisade chrétienne et de légitime reconquête nationale, et il a respecté son engagement de ne jamais prendre les armes contre d'autres princes chrétiens, épuisant pour cela toutes les ressources de la patience, de la négociation et du compromis.
Les soupers en famille étaient l'occasion de nous parler. C'est ce qui fait que nous sommes si unis aujourd'hui. La famille est tellement importante. Même si j'ai quitté la maison, je vois mes parents au moins une fois par semaine. Je les aime. Ils ont toujours été là pour nous. Ce sont les meilleurs! Votre départ du foyer a-t-il créé un choc? Photo: Patrick Séguin / TVA Publications Rosalie partage sa vie avec Gabriel, son amoureux, depuis plus de 10 ans. Oui. Quand je suis partie il y a quatre ans, mon père a trouvé ça difficile. Quand ç'a été au tour de mon frère, c'est ma mère qui a trouvé ça difficile. Je pensais que ç'aurait été l'inverse. Mon père avait les larmes aux yeux quand je suis partie, mais il était tellement heureux pour moi. Mon amoureux et moi sommes ensemble depuis bientôt 10 ans. Dans les yeux de jeanne de. Il est attentionné. Quand je n'entends pas quelque chose, il prend le temps de répéter. C'est quelqu'un de réfléchi, de plus réservé que moi, mais nous nous complétons tellement bien! Nous nous sommes rencontrés à l'UQAM durant nos études.
Selon une étude américaine, chaque kilomètre parcouru ainsi générerait 130 g de CO₂ par personne, soit moins que la voiture et plus que le bus. Selon la chercheuse en durabilité des transports Anne de Bortoli, citée par Le Point, le service de partage mis en place à Paris aurait par exemple généré 13'000 tonnes de gaz à effet de serre supplémentaires en un an, soit l'équivalent d'une ville de 16'000 habitants. Un laboratoire technologique Interpellé, le cofondateur de la manifestation Khalil Beschir explique que, comme pour la Formule 1, l'idée est de faire du sport un laboratoire pour améliorer les technologies pour tout un domaine. «On veut aider les villes à réfléchir à leur micromobilité et leur durabilité. On partage nos données avec tout le secteur. Un enseignant inquiet part à la recherche de frères pauvres qui ne sont pas venus en cours. Si on fait avec notre championnat la même chose que le sport automobile a fait avec le secteur de l'auto, ça va être très bien. » Pour Martine Rebetez, climatologue à l'Université de Neuchâtel et à l'Institut fédéral WSL, tout ce qui peut permettre de se passer des énergies fossiles au plus vite est positif, pour le climat mais aussi pour les poumons des citadins.