A nos communautés religieuses et nos nations, face à la pandémie meurtrière et qui soupirent après le réveil et la stabilité, Dieu cherche un homme pour parler de sa part et qui fera toute la différence. Entendez-vous la voix du Seigneur, disant: "Qui enverrai-je et qui marchera pour nous? " Répondre à cet article
Esaïe 6: 5. Aujourd'hui encore, l'appel de Dieu s'adresse avec instance à chacun de nous en faveur de nos parents dans les villages et hameaux encore sous l'emprise des ténèbres et de l'idolâtrie, nos lycées, collèges et universités pris en otage par l'immoralité et toutes sortes de perversion. Face à la montée fulgurante des faux enseignants, des marabouts et magiciens en habit de bergers qui mystifient, exploitent et escroquent nos concitoyens, Dieu cherche des hommes et des femmes qu'il va utiliser pour faire reculer les ténèbres et libérer leurs captifs. En réponse aux soupirs de détresse et d'angoisse de plusieurs sur leurs lits de maladie, le Seigneur dit chercher des hommes à envoyer pour y porter gratuitement un message d'espérance et de guérison divine. A ces familles dévastées par la malédiction, ces femmes en proie à toutes sortes de détresse et de souffrance, à nos voisins et collègues qui courent vainement après les féticheurs et diseurs de bonne aventure, le Seigneur cherche quelqu'un qui prendra la chose à cœur et intercéder.
"Il n'en est pas ainsi de mon serviteur Moïse. Il est fidèle dans toute ma maison" ( Nombres 12:7). Tout au long de l'Écriture, nous pouvons noter que l'une des qualités requises pour le service était la fidélité. Dieu, qui est fidèle, voulait pouvoir compter sur des hommes fidèles. Moïse est désigné par Dieu, comme étant un homme fidèle. C'est ce qu'il rappelle à Myriam et à Aaron, la sœur et le frère aîné de Moïse, qui avaient parlé contre Moïse. Dieu a choisi Moïse, en qui il a trouvé cette qualité indispensable: la fidélité. Cette fidélité n'est pas la perfection absolue. Moïse a eu des hauts et des bas, comme lorsqu'il s'est irrité en frappant le rocher à Horeb. Tout comme Moïse, et certainement encore plus que lui, nous sommes des serviteurs et des servantes fragiles. Notre condition humaine demeure collée à notre peau, mais Dieu attend de notre part que nous soyons trouvés fidèles. C'est ce que rappelle l'apôtre Paul: "Du reste, ce qu'on demande des dispensateurs, c'est que chacun soit trouvé fidèle" ( 1 Corinthiens 4:2).
… Références Croisées Matthieu 6:2 Lors donc que tu fais l'aumône, ne sonne pas de la trompette devant toi, comme font les hypocrites dans les synagogues et dans les rues, afin d'être glorifiés par les hommes. Mais, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre? Luc 18:11 Le pharisien, debout, priait ainsi en lui-même: O Dieu, je te rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes, qui sont ravisseurs, injustes, adultères, ou même comme ce publicain; Psaume 12:1 Au chef des chantres. Proverbes 20:5 Les desseins dans le coeur de l'homme sont des eaux profondes, Mais l'homme intelligent sait y puiser. Proverbes 25:14 Comme des nuages et du vent sans pluie, Ainsi est un homme se glorifiant à tort de ses libéralités.
Quand on parle de fidélité, le mot se suffit en lui-même. Partageons deux pensées: 1) Quand on est fidèle à Dieu, il éloigne de nous les ennemis. En effet, nous faisons face à plusieurs sortes d'ennemis. Certains sont visibles, et d'autres invisibles. Mais peu importe leur nature et leur nombre, si nous sommes fidèles à Dieu, il finit par les éloigner de nous. 2) Quand nous abandonnons l'Eternel, lui aussi nous abandonne. Mais bien plus, il nous suscite des ennemis. Les mêmes ennemis qu'il avait éloignés. Ces deux pensées, nous les examinons dans la vie de Salomon, selon notre texte de référence biblique supra. 1. Quand nous sommes fidèles à Dieu, il éloigne de nous, des ennemis La vie de Salomon a été caractérisée au départ, par la fidélité à Dieu. Et quand on parle de la fidélité à Dieu, on fait référence à l'observation scrupuleuse de la parole de Dieu. On ne peut pas dire qu'on est fidèle à Dieu alors qu'on n'observe pas sa parole. La fidélité vis-à-vis de Dieu se mesure par la manière dont nous mettons en pratique la parole de Dieu.