La conductrice, âgée de 52 ans, aurait forcé « la demi-barrière fermée dudit passage à niveau alors qu'un train express régional arrivait », selon les enquêteurs. B4C a organisé son premier «Business Dating» au Dôme à Charleroi - Édition digitale de Charleroi. Une expertise accablait la conductrice La très violente collision entre l'autocar de ramassage scolaire et un TER avait fait six morts et plusieurs blessés graves – des adolescents – le 14 décembre 2017. Sous le choc, le car avait été coupé en deux. À LIRE AUSSI Drame de Millas: les dernières expertises accablent la conductrice Un rapport du Bureau d'enquêtes sur les accidents de transport terrestre ( BEA -TT) rendu en mai 2019 concluait que « la cause directe de cet accident est le non-arrêt de l'autocar au passage à niveau malgré les feux rouges clignotants et la barrière qui l'imposaient », estimant que la conductrice du car n'avait pas perçu que le passage à niveau se fermait en raison notamment d'une configuration défavorable des lieux. La conductrice affirmait pour sa part « ne pas avoir vu de barrière » ni « ressenti aucun impact » entre son véhicule et la barrière, selon ce rapport.
En effet, ce dernier, produit de la Zoplicone, commercialisée sous le nom Imovane, un hypnotique pris par la conductrice. Mais cette substance induit la somnolence. Le laboratoire avait donc précisé sur la boite du médicament: « Attention danger: ne pas conduire! ». Et a précisé chez nos confrères: L'Imovane peut influencer de façon conséquente l'aptitude à conduire, avec des risques possibles de somnolence, un allongement du temps de réaction et la diminution de la vigilance, particulièrement pendant les douze heures suivant la prise du médicament. ADEUPA - Géoclip. Un médicament pris depuis sept ans Des explications qui corroborent avec l'enquête qui avait révélé que, pendant les 90 secondes précédant l'accident, la conductrice avait semblé être en pilotage automatique. La tentative de freinage au dernier moment, devant la barrière, n'aura pas été suffisante. Pourtant, Le Parisien avait annoncé en décembre 2018 que le somnifère pris ne pouvait pas être la cause de l'accident. La conductrice prenait ces médicaments depuis sept ans.
Mieux, l'affiche pourrait m'éviter le concert de klaxons qui fait que souvent je sue à grosse goutte à chaque fois que je fais des manœuvres assez bizarres », déclare MK, une débutante. Pour ce moniteur dans une Auto-école de la place, il n'y a pas un championnat de la circulation, c'est la prudence et la maîtrise de soi et de son auto qui permet d'être un conducteur aguerri: « Si vous avez bien suivi les cours et passer avec succès à votre examen pour le permis, vous devez savoir que c'est la prudence et la maîtrise de soi qui peuvent vous aider à bien conduire ». Andiè Adama DARA Navigation de l'article
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