OSS 117: Lost in Rio Larmina: Je vous conduis? Hubert: Je n'ai jamais pu refuser quoi que se soit d'une brune aux yeux marrons. Larmina: Et si j'étais blonde aux yeux bleus? Hubert: Cela ne changerai rien, vous êtes mon type de femme Larmina. Larmina: Tiens donc! Et si j'étais naine et myope? Hubert:... Et bien, j'ne vous laisserai pas conduire! ça n'a pas de sens!
D'aucun ont des aventures... Je suis une aventure. Trumendous: Hubert, you are sooo French! Hubert: Haha toi aussi! Hubert: Oui Bill, c'est Hubert. Trumendous: Ahh Houbert, Sacré Houbert son of a bitch. Hubert: Mouiii, sans doute. Dolorès: Et comment vous appeler un pays qui a comme président un militaire avec les plein pouvoirs, une police secrète, une seule chaine de télévision et dont toute l'information est contrôlée par l'État? Hubert: J'appelle ça la France mademoiselle, et pas n'importe laquelle, la France du Général De Gaulle. Heinrich: Je hais mon père, c'est un Nazi! [ Il se prend une baffe de OSS 117] Non mais oh! Comment tu parles de ton père! Qui c'est qui t'as nourri? Moi jamais je parlerais de mon père comme ça, jamais! Moi mon père il était charron; et j' peux t' dire qu'ça filait doux! Ça, la mère de la Bath elle mouffetait pas! Et les enfants non plus d'ailleurs. Oss 117 je ne mange pas de ce pain la vidéo. Hubert: D'ailleurs, ne dit-on pas qu'une femme qui éclabousse un homme, c'est un peu comme la rosée d'une matinée de printemps, c'est la promesse d'une belle journée et la perspective d'une soirée enflammée?
Ce qui est bien dans toute moralité c'est que le clan le plus malhonnête est toujours reconnaissable et du coup le gardien de la cité et des lois peut venir chercher tous les individus malhonnêtes en un seul coup il suffit qu'il attende les mouvements, les passages, les nouveaux arrivants, les événements. Cependant pour ma part qui tend à la sagesse personne des deux clans sait qui est le plus malhonnête et c'est pour ça qu'ils continuent de se battre éternellement car continuellement pense que l'autre est plus mauvais et donc se sent pourvu de justice. Que faire? Toutes les guerres résultent de cette phrase. Tout porte à croire que les gens ne feront jamais le premier pas pour se dissuader les uns les autres de ne pas se battre. Oss 117 je ne mange pas de ce pain la suite du billet. Alors chacun y va de sa morale de toute façon je n'ai plus rien à perdre, de toute façon la mort ou ça, je suis un religieux je sers mon dieux ect…. tellement facile d'écrire sur le sujet L'histoire prouve pourtant que la paix est le symbole d'une valeur universelle partagée par tous Ma seule réponse celui qui me dit je ne mange pas de ce pain là et même si tu es d'accord mais pour autant ne servant pas de moteur conflictuel dis lui alors met un peu d'eau dans ton vin!!
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CHF 22. 20 Péret, Benjamin Catégorie: Arts Description Lors de ses Entretiens de 1952 André Breton déclarait: « Au cours des trois années qui précédent la nouvelle guerre, le surréalisme réaffirme sa volonté de non-composition avec tout le système de valeurs que met en avant la société bourgeoise. Cette volonté s'exprime avec le maximum d'intransigeance et d'audace dans le recueil de Benjamin Péret: Je ne mange pas de ce pain-là. » Celui-ci fut publié aux Éditions surréalistes en 1936, tiré à 249 exemplaires. Depuis cette date, une seule réédition à signaler dans le tome 1 des OEuvres complètes (Éric Losfeld-1969). Cet ouvrage qui rassemble des textes parus dans les revues surréalistes des années 1920 et 1930, souvent cité, mais peu lu, tranche dans l'oeuvre de Péret par sa singularité et son parti pris de violence verbale. Il se livre à une véritable entreprise de démolition à l'égard de la religion, de la patrie, du nationalisme et des politiciens de son époque. Je ne mange pas de ce pain-là - Benjamin Péret. Ce recueil est suivi d'une enquête lancée par Heribert Becker sur sa réception parmi des lecteurs de la diaspora surréaliste.
Tout ça pour dire que de se taper dessus ça entretiens tout le monde n'est-ce pas! du coup on se décroûte. Sauf qu'il y aura les perdants les vainqueurs Et moi je vous le dis ça fait un sacré spectacle à écrire pour mon histoire. Qui gagnera? ben celui qui ouvrira les débats, qui trouvera une véritable action à mener un seul gagnera celui qui mettra tout le monde d'accord