Depuis plusieurs années, les MOOC (Massive Open Online Courses), ces cours dispensés sur Internet sous forme de vidéos, de podcasts ou de corpus de textes, permettent à n'importe qui d'accéder à des formations accélérées qui couvrent tous les domaines, de l'histoire à la sociologie en passant par les lettres, les mathématiques, le journalisme ou la cuisine. Une approche démocratique de l'enseignement, qui met aussi à disposition de tous les cours des plus grandes universités au monde. L' Institut Français de la Mode n'est pas en reste, et lance cette semaine son premier cours en ligne. Baptisé Understanding Fashion: from business to culture (Comprendre la mode: du business à la culture) et hébergé par la plateforme FutureLearn, il décortique la mode en tant que phénomène culturel et qu'industrie créative, proposant une approche à la fois historique, sociologique, économique et esthétique. « J'ai conçu le cours pour qu'il soit ouvert à tous. Fashion fair en ligne vente. » explique Benjamin Simmenauer, diplômé et l'École Normale Supérieure et enseignant à l' IFM, qui dirige le MOOC.
Cette pratique, héritée de la seconde moitié du XXème siècle avec l'émergence du « lean management » chez Toyota, s'est imposée au fil du temps dans l'ensemble des industries. On cherche à minimiser les coûts de production, à fabriquer en flux tendu et à réduire les délais d'approvisionnement, dans une logique de rentabilité accrue. Le secteur alimentaire a très vite adopté ce modèle d'organisation pour créer le concept de « fast food », et ainsi proposer au plus grand nombre des produits de moindre qualité, fabriqués rapidement et vendus à l'échelle mondiale. Aujourd'hui, cette pratique s'est étendue à l'industrie de la mode et la plupart des grandes entreprises textiles fonctionnent selon ce modèle dominant de « fast fashion ». – Pour aller plus loin, découvrez l'interview d'Audrey Millet, auteure du Livre noir de la mode, et chercheuse spécialiste des écosystèmes de la mode. 130 milliards de vêtements sont consommés, par an, dans le monde. Ce nombre a doublé entre 2000 et 2014! Fashion fair en ligne la. Source 1, 2 milliard de tonnes de gaz à effet de serre sont émis chaque année par le secteur du textile: un impact plus important que les vols internationaux et le trafic maritime réunis.
La marque s'est montrée plus engagée depuis l'effondrement de Rana Plaza qui a tué plus de 1000 personnes et où elle faisait produire des vêtements. Malgré tout il y a un vrai manque de transparence de Primark notamment sur les conditions de travail des ouvriers en Inde. Elle est également suspectée de faire travailler des enfants dans certaines usines. Ma note: 2/10 Topshop, pas cool pour les enfants et les animaux La marque est régulièrement accusée de faire travailler des enfants. Et elle n'est évidemment pas assez transparente sur les conditions de travail de ses employés. Elle a néanmoins fait quelques efforts d'un point de vue écologique. Par contre elle utilise de la laine et du cuir dans ses collections sans spécifier les provenances… Ce qui laisse penser au pire. Asos, peut mieux faire Asos n'est pas la pire marque en termes d'éthique. Mais on note encore un manque de transparence sur la liste des fabricants. L'IFM lance son premier cours de mode en ligne (gratuit) | Vogue France. D'un point de vue écologique elle cherche à réduire son impact notamment dans les envois.
Ce n'est pas mieux du tout du côté des conditions de travail. Forever 21 fait partie des marques qui refusent de signer l'accord sur la sécurité des bâtiments au Bangladesh! Une attitude lamentable et condamnable. Elle mérite bien sa place dans les pires marques de mode en termes d'éthique! Ma note: 0/10 Victoria's secret, plus toxique que sexy Conditions de travail et test sur les animaux, voilà de quoi est accusé Victoria's Secret. Elle serait même soupçonnée de faire travailler des enfants dans certaines usines. En plus de tout ça Victoria's Secret a été épinglée par Greenpeace comme l'une des marques les moins écologiques avec des produits toxiques utilisés dans la fabrication des vêtements. Fashion fair en ligne francais. Vous êtes sûr de vouloir porter leurs culottes? Prada, Chanel, YSL, Michael Kors: le luxe de faire souffrir Sérieusement, qui veut dépenser autant d'argent pour des marques qui sont complètement arriérées en termes d'éthique? Aucune transparence, cruauté animale et écologie à côté de la plaque.