Son grand mérite est de la poser. LA FIN DU COURAGE de Cynthia Fleury. Fayard, 206 p., 14 euros. Roger-Pol Droit Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s'affichera sur l'autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu'une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette). Comment ne plus voir ce message? En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici? Ce message s'affichera sur l'autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d'autres limites? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d'appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l'autre personne? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Pour la première fois, Cynthia Fleury adapte pour la scène l'un de ses essais philosophiques, « La Fin du courage », paru en 2010 chez Fayard. Votre critique endiablée Nos visiteurs sont impatients de vous lire! Si vous êtes l'auteur, le metteur en scène, un acteur ou un proche de l'équipe de la pièce, écrivez plutôt votre avis sur les sites de vente de billets. Ils seront ravis de le mettre en avant. Les avis de la rédaction
Elle assure aujourd'hui la fonction de vice-présidente. Elle est le plus jeune membre du Comité consultatif national d'éthique (CCNE). Elle est également membre fondateur du réseau européen des femmes
Toute en noire, cachée derrière d'énormes lunettes, la philosophe est fermée sur elle-même pendant que son intervieweuse en veste jaune et en jupe est ultra-extravertie. Pourtant, le contraste caricatural n'aboutit pas au désastre annoncé. Peu à peu, Cynthia-Isabelle s'ouvre en découvrant que sa partenaire n'est pas la stupide bête de média qu'elle aura pu être. "Vous avez raison... " concède-t-elle, presque étonnée dans leurs échanges qui ne sont pas aussi superficiels qu'elle s'y attendait. Ce qui devait être son pire cauchemar est un moment qui passe finalement "très vite" et qui va lui permettre d'asseoir sa réputation... et ses ventes. Ainsi, quand la journaliste, cette fois-ci timide et presque bafouillante, vient la voir dans son "cabinet philosophique", non seulement elle l'écoute mais accepte - à contre cœur - de l'accompagner pour aller escalader une montagne. Elle s'y sent contrainte car la journaliste est allée jusqu'au bout de son courage pour lui avouer qu'elle écrivait aussi.