Cette méthode ne nécessite ni anesthésie ni intervention chirurgicale. Certains déplacements sont néanmoins nécessaires afin de réaliser les examens permettant de confirmer la grossesse et son évolution et le contrôle de l'IVG (laboratoires de biologie médicale, réalisation d'échographies), ou encore pour la délivrance des différents médicaments en pharmacie, dont les médicaments pour l'avortement. Ces consultations à distance sont possibles uniquement avec votre accord, et si le professionnel de santé évalue que cela est compatible avec votre état de santé. Vous pouvez bénéficier d'une consultation en présence d'un professionnel à chacune des étapes du parcours. Avant l'IVG médicamenteuse Deux consultations médicales préalables doivent être réalisées: La première se fait chez le médecin ou la sage-femme de votre choix. Bertrand MIRAT Médecin généraliste à Pontault-Combault 77340 - Doctoome. Lors de cette consultation, le soignant vous informe sur les différentes méthodes d'interruption de grossesse et réalise un examen clinique. La seconde consultation se fait auprès du médecin ou de la sage-femme qui réalisera votre IVG.
"La vaccination, c'est un travail d'équipe". On compte 22 000 pharmacies en France réparties un peu partout sur le territoire, qui sont "au plus proche des patients et avec une forte demande des patients qui, jusqu'ici n'avaient que la possibilité de se faire vacciner en centre ou chez les médecins". En Occitanie, elles sont plus de 1 000 avec déjà l'habilitation "vaccination contre la grippe". L'Hérault compte 400 officines. Qui est concerné? "Depuis le début de la crise sanitaire, on vit au jour le jour", reprend le pharmacien, installé à Roujan, près de Béziers, dans l'Hérault. Le décret stipule en effet que les pharmaciens vont pouvoir vacciner " tous les patients âgés de plus de 75 ans sans restrictions, mais aussi les patients âgés de 50 à 74 ans présentant des comorbidités. "Mais on ne connaît pas encore la liste des comorbidités retenues". Les 10 meilleurs tatoueurs à Égly, Essonne. Prescrire et injecter Toujours selon Frédéric Abecassis, le décret précise aussi que "les pharmaciens pourront prescrire et administrer. Administrer, cela veut dire injecter le vaccin et prescrire, cela signifie que le pharmacien pourra décider de qui peut se faire vacciner sans forcément se rendre chez son médecin traitant.