Le corps d'un homme par Lauravanelcoytte (acrostiche) Le corps des hommes Etait son terrain de jeu Caresser, embrasser, Oser toujours plus Résister un peu Puis se donner Sans retenue Donner, prendre, offrir Un torse qui se dévoile, la Nature qui prend le pas sur l' Humain; humaine nature Obscène comme l'animalité Masculine comme les courbes Mutines de ton corps désormais Esclave de son exclusif amour. Poème posté le 27/12/07 Poète Lauravanelcoytte Sa carte de visite Cliquez ici pour accéder à la carte de visite de l'artiste (Sa présentation et l'ensemble des ses créations)
Par contre, ( continuer... ) Pour Baudelaire.
Vous ne les trouverez dans aucun ( continuer... ) On m'a dit que je devais aller à l'école et être parfait pour mon futur rôle dans ( continuer... ) Oh, laisse-moi tranquille, dans mon destin, Avec tes comparaisons illégitimes ( continuer... ) Devant une audience qui leur est acquise des avocats plaideront la cause de ( continuer... ) à M... un jour d'avant printemps, par vent d'ouest ou Noroît? Tu m'as montré ( continuer... ) " - Non, ce taxi, quelle charrette. C'est sous les toits, votre entresol? Je ( continuer... ) L'universel désir guette comme une proie Le troupeau des vivants; tous viennent ( continuer... Poème sur le corps humain au coeur. ) Cette nuit comme nuit Ai l'esprit Ni ici ni là En raison De n'être ( continuer... ) Sur le chemin où tu chemines jour après jour, face au levant, musardant ou ( continuer... ) Les images passent et repassent Dans sa tête, de mouton Normal Images de couloirs ( continuer... ) Souvenez-vous des humbles cimetières Que voile aux villages voisins Le pli d'un ( continuer... ) Je vis cette faucheuse.
Il est grand temps que nous revenions tous à la maison. Le perpétuel retour dans ce système solaire à déjà trop duré. Nos séjours et nos existences aggravent l'éveil de l'âme? Ces états ont été édifiés pour que vive l'âme mais non pour qu'elle confonde la réalité de l'irréalité. Poème sur le corps humain in english. Les épures du corps ne servent qu'à la stabilisation du bâtiment spirituel rien de plus. Quand nous subissons la soumission des émotions et désirs la pensée à déjà été traduite mais le cerveau s'est connecté trop lentement pour que nous puissions appréhender à sa juste valeur la vibration originelle qui fût émise par la conductrice de la vie La pensée est déjà inscrite dans l'éther, Puisque l'âme impressionne l'éther, Or le temps que l'appareil récepteur analyse les données il y a une contradiction et elle nous arrive quasi amputée. Nous prenons alors les résidus de cette distorsion et avec notre imagination nous extrapolons Ou nous nous livrons dans des raisonnements purement humains. Pour comprendre et ne pas se tromper il faut être concentré et savoir censuré par le biais de l'âme qui en soi est une joueuse exceptionnelle, Saviez-vous que l'âme aime le jeu?
C 'est une volupté, mais terrible et sublime, De jeter dans le vide un regard éperdu, Et l'on s' étreint plus fort lorsque sur un abîme On se voit suspendu. Quand la Mort serait là, quand l' attache invisible Soudain se délierait qui nous retient encor, Et quand je sentirais dans une angoisse horrible M ' échapper mon trésor, Je ne faiblirais pas. Fort de ma douleur même, Tout entier à l' adieu qui va nous séparer, J ' aurais assez d' amour en cet instant suprême Pour ne rien espérer. Poème sur le corps humain et animaux. Paroles d'un Amant Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise Ackermann Plus sur ce poème | Commenter le poème | Voter pour ce poème | 1531 votes < 2 3 4 5 6 Les poèmes A B C D E F G H J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Les poètes Z