Face à l'escalade des violences en cours entre le Hamas et Israël, le président américain se retrouve malgré lui contraint de s'impliquer pour éviter une aggravation du conflit Smialowski Article Abonné Au moment de sa prise de fonctions, Joe Biden espérait recentrer la politique étrangère américaine du Moyen-Orient vers l'Asie. Force est de constater que l'opération pourrait prendre plus de temps que prévu. UNE SACRÉE FORME D'ATTENTISME ! - Synonymes mots fléchés & mots croisés. Face à l'escalade des violences en cours entre le Hamas et Israël, le président américain se retrouve malgré lui contraint de s'impliquer pour limiter le risque d'une "guerre à grande échelle", selon les termes employés mardi par l'émissaire de l'ONU pour le Proche-Orient. Jusqu'à présent, Joe Biden avait surtout manifesté une forme d'attentisme dans ce dossier. Si son administration avait apporté son soutien à une solution à deux États par la voix de son Secrétaire d'État Antony Blinken, ce dernier avait reconnu au mois de janvier qu'il n'y avait pas de "perspective réaliste en ce sens à court terme".
Mais globalement, les Français se tournent vers du moyen courrier, c'est-à-dire des destinations européennes. On retrouve aussi des envies de soleil avec le Maroc et la Tunisie, qui voient leur niveau de réservations doucement remonter. 2022 devrait aussi marquer le grand retour de la croisière, estime Marianne Chandernagor, directrice du Salon mondial du tourisme. "On voit si on doit parler du type de séjour, que la croisière commence à reprendre un peu des couleurs, mais ce ne sont pas encore les tendances de 2019", analyse-t-elle, avant de préciser que "les protocoles sanitaires sont encore un peu stricts sur les bateaux de croisière". Forme d attentisme en. Pour elle, ce qui marche fort cette année, ce sont "les voyages natures, réservés au marché d'Europe du Sud, notamment en Espagne, Italie, Grèce, Portugal". Une région du monde reste à la peine, c'est l'Asie. Les professionnels notent également une forme d'attentisme sur les réservations de cet été, entre crainte d'une reprise de la pandémie ou d'une aggravation du conflit en Ukraine.
Avec près de 23 000 nouveaux cas quotidiens de Covid-19, la France fait face à une flambée des contaminations inédite, en plein été, et alors même que le cap des 40 millions de primo-vaccinés a été franchi ce lundi 26 juillet, dont plus de 33 millions de Français totalement vaccinés. La quatrième vague n'est pas « une épidémie de jeunes mais de non-vaccinés » Dans les dernières vingt-quatre heures, 22 767 nouveaux cas quotidien de Covid-19 ont été enregistrés, soit deux fois plus qu'il y a une semaine (10 949 cas enregistrés le samedi précédent), une hausse particulièrement importante en à peine quelques jours, sous la poussée du variant Delta, plus contagieux. A titre de comparaison, la France n'a jamais dépassé les 2 000 cas quotidiens en juillet 2020, ni les 10 000 cas en août. Forme d attentisme a la. Bien sûr, à l'époque les Français se faisaient beaucoup moins tester. Plus de deux fois moins, comme le note Guillaume Rozier sur Twitter, mais si le nombre de dépistages peut en partie expliquer le nombre de cas, il ne justifie pas la rapidité de la hausse.
Des coups à prendre Le nouveau locataire de la Maison-Blanche avance en tout cas en terrain miné: tous ses prédécesseurs s'étant déjà retrouvés en difficulté sur la mise au point d'un accord de paix. "Joe Biden a bien compris qu'il pouvait se brûler les ailes dans ce dossier où aucun président avant lui n'est parvenu à trouver de solution. Ukraine : « Dans le cyberespace, les deux blocs se regardent en chien de faïence ». Il a beaucoup à perdre en termes d'image et de réputation, pour un résultat plus qu'incertain", décrypte Julien Zarifian, maître de conférences à CY Cergy Paris Université, spécialiste de la politique étrangère américaine. Sur ce point, l'ex-président Donald Trump ne s'est d'ailleurs pas privé de lancer les hostilités. "Sous Biden, le monde devient de plus en plus violent et instable parce que la faiblesse de Biden et le manque de soutien à Israël mènent à de nouvelles attaques contre nos alliés", a-t-il lancé dans un communiqué publié mardi. En son temps, le milliardaire s'était distingué par des décisions plus que favorables à Israël, reconnaissant unilatéralement Jérusalem comme sa capitale, ou proposant un plan de paix controversé permettant à l'État Hébreu d'annexer une grande partie de la Cisjordanie.
Uniquement par précaution, ce niveau serait idéal pour alléger les stratégies courtes d'ici le 20 janvier mais on pourrait aussi les conserver tant que 4815 reste support en fin de semaine dans l'espoir d'un mouvement plus marqué la semaine suivante en direction de la zone 5060/5100 (post investiture de D. Trump). Conflit israélo-palestinien : l'attentisme de Joe Biden à l'épreuve des violences - L'Express. Néanmoins et passé une probable pointe d'euphorie, nous pensons que ce palier majeur de moyen terme ne sera pas franchi durablement, ce qui veut dire qu'il faut ensuite prévoir une phase corrective. En cas de déconvenue, le premier risque serait constitué par la perte sèche de 4752 sur le cash. En résumé, les intervenants ont mis les choses en stand by, préférant se définir le moment venu. En intraday, la tendance conservera un biais très positif > 4840 et surtout > 4873. Les points sur le future janvier sont, à la hausse, 4940 (résistance du range intraday), 4950 (fort) puis 4975-5015 (très fort) 5030 (réplique) voire 5060-5100 (très sensible) et à la baisse, 4865, 4840 (support du range intraday), 4815 (niveau d'inflexion de CT), 4752 (niveau d'alerte), 4744 (réplique) puis 4640-4600 (très sensible).