Hadith du jour / Jeûner le jour de ARAFAT août 07, 2019 Commentaires Enregistrer un commentaire
Parmi ces bienfaits il y a que c'est le meilleur jour de l'année. Ainsi le compagnon Jabir Ibnou `Abdi l-Lāh, que Allāh l'agrée, a rapporté du Prophète ṣalla l-Lāhou `alayhi wa sallam qu'il a dit ce qui signifie: « Le meilleur des jours est le jour de `Arafah » Parmi ces bienfaits, il y a le fait que ce soit un jour de pardon des péchés et de délivrance de l'enfer. Mouslim a rapporté de `A'ichah que Allāh l'agrée d'après le Messager de Allāh, ṣalla l-Lāhou `alayhi wa sallam, qu'il a dit: « ما من يوم أكثرَ من أن يعتق الله تعالى فيه عبداً من النار من يوم عرفة » ce qui signifie: « Il n'y a pas un jour dans lequel Allāh affranchisse plus d'esclaves de l'enfer que le jour de `Arafah » Les bienfaits de jeûner le jour de `Arafah Donc celui qui veut être délivré de l'enfer et être pardonné des péchés en le jour de `Arafah, qu'il persévère sur les causes par lesquelles on espère être délivré, être pardonné, parmi lesquels, jeûner ce jour. Ainsi, dans le ṣaḥīḥ de Mouslim, selon `Abdou l-Lāh ibnou Ma`bad Az-Zimmāniyy, il est rapporté de Aboū Qatādah que le Prophète ṣalla l-Lāhou `alayhi wa sallam a dit lorsqu'il a été interrogé sur le jeûne de `Arafah: « صِيَامُ يَوْمِ عَرَفَةَ إِني أَحْتَسِبُ عَلَى اللهِ أَنْ يُكَفرَ السَّنَةَ الَّتِي قَبْلَهُ وَالسَّنَةَ الَّتِي بَعْدَهُ » (ṣiyāmou yawmi `Arafah, 'innī 'aḥtacibou `ala l-Lāhi 'an youkaffira s-sanata l-latī qablahou was-sanata l-latī ba`dah) ce qui signifie: « Le jeûne du jour de `Arafah expie les péchés de l'année qui précède et ceux de l'année qui suit ».
Sans oublier de Le remercier de nous avoir permis d'assister à ce grand jour; 4-Demander le pardon d'Allah (al-istighfâr) avant la salât du fajr; 5-Accomplir la salât du fajr en groupe dans la mosquée et rester assis jusqu'au moment de salât ach-chouroûq (15 minutes après le lever du soleil); 6-Accomplir le takbir (dire Allahou Akbar) après chaque salât; 7-S'occuper jusqu'au moment du chouroûq par la récitation du Coran, le takbîr (dire: Allahou akbar [1]), le tahmîd (dire: Al-hamdou-li-llâh [2]), le tahlîl (dire: lâ 'ilâha illa-llâh [3]) et le dhikr (l'évocation) d' Allah en général.
On retrouve le même principe sur une pente raide, lorsque la vitesse de rotation des roues retombe à cause de la faible allure. A l'inverse, les moteurs montés sur l'axe du pédalier, agissant sur la transmission, peuvent toujours tourner à une vitesse de rotation optimale – si vous utilisez efficacement le dérailleur – tout en consommant moins. Typiquement – mais il existe des exceptions – les moteurs centraux sont couplés à des capteurs de force, qui mesurent l'effort du cycliste, et permettent un pédalage plus naturel. Les moteurs au moyeu quant à eux – encore une fois, exceptions mises à part – sont combinés avec de simples capteurs de pédalage, qui déterminent un pédalage moins naturel, tout en permettant le «pédalage symbolique» (veuillez consulter la page dédiée aux capteurs de pédalage pour approfondir ces aspects). Le débat entre les aficionados quant au meilleur type de moteur est ouvert et est parfois même musclé. L'avis général que nous partageons est fonction du budget de chacun et d'autres paramètres: si vous avez un budget serré, que vous comptez plutôt utiliser le VAE sur de petits parcours et des pentes raisonnables, tout en étant intéressés par le « pédalage symbolique », vous opterez donc pour un moteur au moyeu avant ou arrière.