La cascade d'Yikpa (Agu Matsa) proche du village est considérée comme l'une des plus belles du Togo. Dans ce village, une structure d'accueil a été mise en place pour développer l'éco-tourisme. Il est donc possible de loger chez l'habitant et de réaliser des excursions jusqu'aux grottes et cascades environnantes. Kara Kara est la capitale du Nord du Togo, départ des excursions pour la vallée de Tamberma et du Mont Kabyé. Connue également, car le président Eyadéma, qui vient du village Pya à 20 km au nord, a fortement subventionné Kara. La région est aussi connue pour les Evala, cérémonies qui marquent le passage à l'âge adulte des adolescents. Il y a différents rituels comme le fait de marcher sur des braises ou encore les épreuves de lutte traditionnelle. Projet ecotourisme maroc des. Kpalimé On ne peut passer à Kpalimé sans voir le Mont Agou, plus haut sommet du Togo avec ses 986 m et la cascade de Kpalimé qui attire les baigneurs. Kpalimé est connu pour son centre artisanal et son grand marché. Lomé La plage embellit le paysage de la ville et de nombreux cocotiers ornent le rivage.
Le pôle agritourisme souhaite valoriser et mettre en avant les initiatives d'écotourisme intégrant l'agroécologie dans leur offre, que ce soit en montagne, dans les piémonts, dans les régions côtières), les territoires ruraux périurbains, et accompagner les initiatives émergentes. Quelques lieux vous sont déjà proposés ici mais une offre élargie et plus détaillée sera accessible à travers notre annuaire (actuellement en refonte). Aux voyageurs l'agritourisme offre l'opportunité de se reconnecter à la nature, de découvrir la diversité des paysages, des agrosystèmes, la faune et la flore sauvages, de rencontrer les habitants, de partager leurs savoir-faire agricoles, culinaires et artisanaux. Pour les producteurs l'activité d'accueil touristique peut constituer un complément de revenu appréciable. Agritourisme et écotourisme solidaire, de quoi parle-t-on? Projet ecotourisme maroc pour. L'écotourisme est l'une des formes du tourisme durable. Il propose aux voyageurs de découvrir des écosystèmes naturels et des agrosystèmes.
Résultats qualitatifs désignation des objectifs par priorité Financement Cotisation des membres de l'association A propos de l'organisation Abdelouahab Chaib président de l'association +212661511752 Cette association met en avant la valorisation du tourisme rural durable et le développement des arrières pays. L'association fut créé en 2018 et s'est donnée pour tâche d'aider les populations les plus démunies de la commune rurale d'Eddir, celle dont le niveau et les conditions de vie sont particulièrement défavorables à travers le développement d'une activité touristique permanente dans la région. Dans cet objectif, l'association a centré ses efforts sur le milieu rural montagnard isolé, principalement les zones qui jusqu'à présent, n'étaient accessible que par piste.
Si on va plus en profondeur, de nombreux points sont plus que préoccupants. La désertification gagne du terrain, non seulement "comme partout", dans la bande saharienne, mais aussi sur les pentes des montagnes de l'Atlas, autrefois très boisées, parce que le bois est utilisé pour le chauffage, plus vite qu'il ne peut se renouveler. Projet ecotourisme maroc www. Cette photo, prise sur les pentes du cirque de Jaffar, près d'Imilchil montre bien l'ampleur des dégâts. Ce paysage de montage était autrefois verdoyant La gestion de l'eau est inquiétante. Entre le mauvais assainissement, les besoins de l'agriculture dans la région d'Agadir et du Sous où les maraîchers, plus encore que les vergers, consomment énormément et forent des puits de plus en plus profond, le développement des besoins touristiques pourrait paraître anecdotique. Pourtant la consommation d'eau des grandes villes touristiques comme Marrakech ou Agadir est telle qu'on frôle la pénurie chaque été. Les jardins qui parent le royaume, les massifs fleuris abondamment dans toutes les villes embellissent le paysage urbain, mais consomment de l'eau.
Revendus à une entreprise de recyclage, les déchets sont ainsi traçables. Une manière également d'intégrer les chiffonniers à la société en leur donnant un statut, en les sortant de la pauvreté tout en permettant aux habitants de Casablanca d'être sensibilisés à la protection de l'environnement. Autre objectif, remplacer les ânes et les mulets par des vélos électriques. 3. L'éco village touristique Ce projet d'éco tourisme totalement inédit a été lancé à 20 minutes de Marrakech, dans le désert d'Agafay. Le Crédit Agricole du Maroc promeut les startups vertes dirigées par des jeunes - AITN. L'initiative a pour but de sensibiliser la population locale et étrangère au respect de l'environnement afin que chacun devienne à la fois acteur et éco responsable. Ici, les constructions, les espaces verts tels que le potager et le champ d'aloe vera, et les aménagements intérieurs sont réalisés dans un total respect de l'environnement avec des matières naturelles locales pour une harmonie maximale entre chaque élément. 4. L'éco hammam Un hammam traditionnel désert pour cause de coronavirus.
Dans la région Marrakech-Safi, parmi les quelques initiatives menées pour développer l'écotourisme, Imad Barrakat a souligné « le travail réalisé pour améliorer le parc national du Toubkal, notamment autour d'un partenariat public-privé pour la mise à niveau de la station d'Oukaimeden, qui connaît un afflux massif, en termes de sécurité, de réorganisation fonctionnelle des espaces et de professionnalisation des services ». En amont, tout un autre travail reste également à faire: « Il faut construire une identité territoriale pour générer une expérience touristique authentique, et ne pas rester dans de simples visites qui ne remplissent pas leur vocation écotouristique. Cette identité territoriale passe par une médiation avec les populations locales, de façon à pouvoir créer un produit écotouristique et le vendre. » …et une réglementation encore lacunaire Nadia Fettah Alaoui, ministre du Tourisme, de l'artisanat, du transport aérien et de l'économie sociale a, quant à elle, plaidé pour « la réglementation du séjour chez l'habitant et d'autres habitations alternatives qui s'inscrivent particulièrement bien dans l'environnement de l'écotourisme, mais qui doivent encore être répertoriées, classées et autorisées à recevoir des touristes, à la fois pour assurer la sécurité des visiteurs et celle des populations locales ».