Débats Livres Dans son dernier livre, l'universitaire Nicolas Offenstadt met en lumière cette pratique peu connu du grand public, qui consiste à visiter sans autorisation des sites abandonnés. Par goût de l'interdit et du danger, ou à la recherche d'un passé oublié. Article réservé aux abonnés Livre. De plus en plus répandu chez les jeunes Occidentaux en mal de sensations fortes, l'« urbex » reste pourtant une pratique mystérieuse pour le grand public. Contraction de l'anglais urban exploration (« exploration urbaine »), le terme désigne le fait de visiter sans autorisation des lieux abandonnés. Dans quel but? C'est toute la question, à laquelle cet ouvrage solidement documenté tente de répondre. Une gageure, tant la galaxie de l'urbex est foisonnante. Le grand mérite du livre de Nicolas Offenstadt est de dresser une typologie complète de ces pratiques, ce qui n'avait jamais été fait dans un ouvrage en langue française. Urbex grand est au. Lui-même urbexeur expérimenté, l'auteur est d'abord historien, maître de conférences à l'université Paris-I.
Nous arrivons devant la propriété. Quel soulagement de pouvoir enfin être ici! L'accès ne peut pas être plus facile: le portail d'entrée est ouvert. On peut deviner sur la droite d'anciens escaliers en pierre, aujourd'hui recouverts de ronces, qui devaient monter vers un petit jardin. Le terrain est assez grand, et plutôt vide. Pas de traces de jouets pour enfants à l'extérieur si ce n'est une pièce d'échecs géante… A l'arrière de la maison, une fenêtre est ouverte; et nos amis les urbexeurs ont pensé à nous en ayant préparé un rondin de bois, qui nous permet de nous hisser à l'intérieur. Wouah! A la découverte de la galaxie « urbex », ces aventuriers des lieux désaffectés. C'est le seul mot qui me vient à l'esprit. C'est la première fois que je vois un manoir dont l'intérieur est aussi bien conservé. Après un (trop? ) long moment dans la pièce principale, nous devons visiter l'étage avant que la nuit ne tombe. Il est environ 16 heures, une après-midi de janvier et la lumière commence à diminuer très rapidement. Finalement, l'étage n'a que peu d'intérêt par rapport à la beauté du rez-de-chaussée.
Quant à la sympathique Renault Twingo abandonnée dans un hangar quelque part en France, elle a perdu son regard malicieux ainsi que son sourire: ses optiques avant et son pare-chocs. Cette année, la Peugeot 104 fête ses 50 ans mais, celle que vous découvrez dans ce sujet urbex n'est pas prête de revoir la lumière du jour. A ses côtés, on trouve notamment une Renault 16. Dans ce même hangar dont le toit semble avoir été détruit pour sa partie en verre, une Renault 25 "récupère" les feuilles mortes… Une autre Peugeot 205 est aussi coincée, peut-être à jamais, entre la R25 et une Auto Union 1000 S Coupé aux déjà quatre anneaux Audi. Enfin, un Peugeot J7 au beau bleu et de type remorque attend également des jours plus heureux dans ce "garage aux cauchemars" dont d'autres photos sont disponibles, ci-dessous, au terme de cet article. Urbex Grand Est - Raphaël Coffin - Photographe Aude. La rédaction Photos: Luis Maletras – Explorateur urbain
L'histoire que vous venez de lire est totalement inventée, c'est une fiction écrite pour préserver la véritable identité du lieu. Offrez vous un tirage limité collector avec certificat d'authenticité d'une des photos de ce reportage. Disponibles en plusieurs formats dans différents supports (Papier d'Art et Dibond). Urbex grand et beaurain. Prix attractif et livraison gratuite en France Métropolitaine (sous 10 à 15 jours en Colissimo). A partir de * 50, 00 € Découvrez d'autres photographies de ce reportage en vente sur cette page: ur Continuez à explorer d'autres véhicules abandonnés en [cliquant ici] Ces articles disponibles sur Amazon peuvent vous intéresser:
Le miracle c'est que personne n'a été blessé. Le jour même le propriétaire de la Multipla raconta à la presse locale sa mésaventure et la discrimination dont il avait été victime. L'emballement médiatique ne s'arrêta plus. Ce cas d'exclusion et de xénophobie rappela avec horreur les heures les plus sombres dont avait été victime la Ford Ka première du nom. Urbex grand est francais. De nombreuses associations antiracistes s'empressèrent de porter plainte contre le garagiste qui ne regrettait en rien son acte, il argumenta même avec sa thèse du grand remplacement, cette peur de voir petit à petit les voitures hideuses être en supériorité numérique dans notre pays, propos ahurissant. En soutien au conducteur victime de racisme, des centaines de propriétaires de Fiat Multipla partirent de toute la France manifester devant le garage automobile, un cortège terrifiant, pleins, pleins de Multipla de toutes les couleurs. La ville fut envahie en quelques heures. Les fenêtres ouvertes en conduisant, les chauffeurs poussèrent leurs cris de ralliement "Multipla Akbar!