La suite après la publicité Mais un parlementaire glisse, plus prudent: "s'il y a une candidature que nous soutiendrions, ce serait naturellement un candidat radical de gauche".
Son score avait été très faible - 2, 32% - et, parmi d'autres candidatures de gauche, avait participé à l'élimination de Lionel Jospin au premier tour. De quoi faire réfléchir pour l'année prochaine.
"La candidature d'Emmanuel Macron oxygène la politique et plus généralement la vie publique du pays (... ) Il ne fait pas un catalogue de propositions mais il a des objectifs de bon sens sur le travail, l'éducation… Alors, oui, je le soutiens", a déclaré de son côté Jacques Mézard à la Montagne mercredi. Macron et pinel youtube. Une vision des choses diamétralement opposée à celle de la direction, pour qui au contraire, "sur le fond, on n'a pas été très convaincus jusqu'à aujourd'hui par les positionnements républicains et laïcs de Macron". Manuel Valls fait un discours lors d'un forum économique organisé par le Sueddeutsche Zeitung à Berlin le 17 novembre 2016-AFP/John MACDOUGALL Dès le 8 novembre, alors que l'annonce de la candidature du fondateur d'En marche! ne faisait plus de doute, la présidente du PRG, Sylvia Pinel, avait alerté sur un "état d'urgence pour la gauche réformiste". Pour elle, les candidatures de Jean-Luc Mélenchon et d'Emmanuel Macron sonnent "le glas d'une présence de la gauche au second tour" de la présidentielle.