Filles de joie et de misère Histoire vivante du 9 septembre à 21:05 sur RTS Deux Cette vidéo n'est plus disponible en ligne pour des questions de droits. Les maisons closes cachent derrière leurs portes une organisation propre à chacune. Des maisons de luxe aux lupanars, les filles de joie ne rêvent que d'une chose: la liberté. A travers le film d'archives, le dessin et la voix des historiens, rencontre avec ces héroïnes particulières des 19e et 20e siècles qui oscillent entre des rêves de volupté et un quotidien souvent sordide. Durée: 50'
Synopsis Casting Année de production: 2016 Pays: France Genre: Documentaire - Société Durée: 50 min. -10 Synopsis Les maisons closes cachent derrière leurs portes une organisation propre à chacune. Des maisons de luxe aux lupanars, les filles de joie ne rêvent que d'une chose: la liberté. A travers le film d'archives, le dessin et la voix des historiens, rencontre avec ces héroïnes particulières du 19e et du 20e siècle qui oscillent entre des rêves de volupté et un quotidien souvent sordide Casting de Filles de joie et de misère
Documentaire TV de Julia Bracher · 50 min Pays d'origine: France Casting complet et fiche technique Du fantasme à la réalité historique, le film retrace un siècle et demi de maisons closes. Entre les rêves de volupté et un quotidien souvent sordide, le documentaire racontera la mise en place du French system qui commence à Paris dès 1829 pour s'étendre très vite à toute l'Europe, jusqu'à son abolition en France, en 1946. A travers l'archive, le dessin et la voix des historiens, le documentaire s'attachera à l'histoire de ces héroïnes particulières: les filles de joie.
20. 30 lcp « Filles de joie, au delà d'un passé sublimé, quelles étaient au juste vos vies dans les bordels? » Cette réflexion d'ouverture traverse cette très documentée immersion au sein des maisons closes. Lieu phare de la société française du XIXe siècle, la maison close permet « d'institutionnaliser » la prostitution, et ainsi de satisfaire les désirs interdits des citoyens au sein d'un cadre établi, censé éveiller l'érotisme. Loin de leur foyer, les classes bourgeoises assouvissent ainsi leurs passions avec des filles dites de mauvaise vie, au gré de pratiques jugées trop « impures » pour leurs épouses. Considérée comme une nécessité sociale, suscitant la fascination par son caractère à la fois transgressif et sensuel, la prostituée n'en est pas moins pointée du doigt. Diabolisée par toute une frange de la population, objet de discours hypocrites et pudibonds, elle sera pourtant célébrée et magnifiée par des artistes comme le peintre Toulouse-Lautrec. Au gré des siècles, on parle d'elle, incessamment, mais sans jamais vraiment lui tendre l'oreille.